D'après "Harris Interactive", institut d' études marketing et de sondages d'opinion, les sympathisants du Front national (extrême droite, 94%), du Parti Communiste et de La France insoumise (gauche radicale, 87%) sont les moins satisfaits de ce début du quinquennat.
Viennent ensuite les sympathisants des Républicains (droite, 75%) et du Parti Socialiste (PS, gauche, 57%).
Les partisans de La République en marche, le parti du président sont 11% à se dire insatisfaits de l'action du président.
Pour la majorité des Français interrogés, les principales réformes envisagées par l'exécutif sont jugées "prioritaires", révèle l'enquête.
Il s'agit dans un premier temps, de "la réforme du système éducatif" (76%), la moralisation de la vie politique (74%), l'unification des systèmes de retraites (72%) ainsi que de la réforme du code du travail (56%), détaille l'enquête réalisée en ligne du 8 au 10 aout auprès de 994 personnes (de 18 ans et plus).
La lutte contre le chômage des jeunes est jugée prioritaire par 93% des personnes interrogées, devant la facilitation du recrutement pour les petites et moyennes entreprises (91%).
Le président Macron se révèle déjà moins populaire que son prédécesseur François Hollande qui, à la même période réunissait encore 46% de satisfaits.
Viennent ensuite les sympathisants des Républicains (droite, 75%) et du Parti Socialiste (PS, gauche, 57%).
Les partisans de La République en marche, le parti du président sont 11% à se dire insatisfaits de l'action du président.
Pour la majorité des Français interrogés, les principales réformes envisagées par l'exécutif sont jugées "prioritaires", révèle l'enquête.
Il s'agit dans un premier temps, de "la réforme du système éducatif" (76%), la moralisation de la vie politique (74%), l'unification des systèmes de retraites (72%) ainsi que de la réforme du code du travail (56%), détaille l'enquête réalisée en ligne du 8 au 10 aout auprès de 994 personnes (de 18 ans et plus).
La lutte contre le chômage des jeunes est jugée prioritaire par 93% des personnes interrogées, devant la facilitation du recrutement pour les petites et moyennes entreprises (91%).
Le président Macron se révèle déjà moins populaire que son prédécesseur François Hollande qui, à la même période réunissait encore 46% de satisfaits.