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Reconnaissant un geste "inapproprié", Sapin a présenté ses excuses, dans un communiqué transmis par la presse française, pour avoir fait une remarque à une journaliste "sur sa tenue vestimentaire en posant [ma] main sur son dos".
"Il n'y avait dans mon attitude aucune volonté agressive ou sexiste, mais le seul fait d'avoir choqué la personne en question démontre que ces paroles et ce geste étaient inappropriés, et j'en ai été et en suis encore désolé", a encore indiqué Sapin pour se défendre de toute accusation de sexisme.
Le geste "inapproprié" de Sapin avait été révélé par les journalistes Stéphanie Marteau et Aziz Zemouri, dans leur livre "Elysée Off", sorti le mois dernier.
"Ne vous avisez pas de ramasser un stylo devant lui, sous peine qu’il ne puisse retenir sa main en murmurant : “Ah ! mais qu’est-ce que vous me montrez là ?”, écrivent les deux journalistes dans leur livre en décrivant un geste impudique du ministre au Forum de Davois de 2015.
L'affaire avait été relatée d'une autre manière dans une tribune signée par 40 journalistes femmes et parue à la Libération, dénonçant le sexisme dans les milieux politiques. Dans cette tribune intitulée "Nous, femmes journalistes en politique", les journalistes des plus grands médias français décrivaient les propos et gestes déplacés des hommes politiques, dont certains dignes d'être qualifiés de harcèlement sexuel.
L'affaire de Sapin survient quelques jours après qu'un autre homme politique français, Denis Beaupin, a été accusé d'actes d'agressions et de harcèlement sexuel par huit femmes. Ces femmes en question témoignaient sur les actes inappropriés de l'ancien député des Verts et vice-président de l'Assemblée nationale, envers les membres féminins de son parti.
Les révélations en série avaient poussé Beaupin à renoncer à la vice-présidence de l'Assemblée et de se retirer du groupe écologiste.
"Il n'y avait dans mon attitude aucune volonté agressive ou sexiste, mais le seul fait d'avoir choqué la personne en question démontre que ces paroles et ce geste étaient inappropriés, et j'en ai été et en suis encore désolé", a encore indiqué Sapin pour se défendre de toute accusation de sexisme.
Le geste "inapproprié" de Sapin avait été révélé par les journalistes Stéphanie Marteau et Aziz Zemouri, dans leur livre "Elysée Off", sorti le mois dernier.
"Ne vous avisez pas de ramasser un stylo devant lui, sous peine qu’il ne puisse retenir sa main en murmurant : “Ah ! mais qu’est-ce que vous me montrez là ?”, écrivent les deux journalistes dans leur livre en décrivant un geste impudique du ministre au Forum de Davois de 2015.
L'affaire avait été relatée d'une autre manière dans une tribune signée par 40 journalistes femmes et parue à la Libération, dénonçant le sexisme dans les milieux politiques. Dans cette tribune intitulée "Nous, femmes journalistes en politique", les journalistes des plus grands médias français décrivaient les propos et gestes déplacés des hommes politiques, dont certains dignes d'être qualifiés de harcèlement sexuel.
L'affaire de Sapin survient quelques jours après qu'un autre homme politique français, Denis Beaupin, a été accusé d'actes d'agressions et de harcèlement sexuel par huit femmes. Ces femmes en question témoignaient sur les actes inappropriés de l'ancien député des Verts et vice-président de l'Assemblée nationale, envers les membres féminins de son parti.
Les révélations en série avaient poussé Beaupin à renoncer à la vice-présidence de l'Assemblée et de se retirer du groupe écologiste.
