
Saïd Bahmed a été arrêté "sans incident ni difficulté" par la gendarmerie dans le local technique d'un immeuble de son quartier d'origine à Besançon, a indiqué le procureur de la ville, Alain Saffar.
Le jeune homme a été placé en garde à vue pour être interrogé sur son évasion du tribunal où il devait être jugé, selon le procureur.
Début août, il était apparu à visage découvert dans une vidéo postée sur internet, dans laquelle il narguait les forces de l'ordre, se préparait un joint, rappait et exhibait les menottes qu'il portait le jour où il s'était échappé. La vidéo a été vue plus de 360.000 fois depuis sa mise en ligne.
Le 27 juin, il s'était évadé lors de son transfert au tribunal de Besançon, profitant de l'arrêt du fourgon cellulaire dans la cour pour se glisser sous une porte automatique. Le tribunal l'avait condamné par contumace à un an de prison ferme avec mandat d'arrêt pour violences aggravées.
Saïd Bahmed, qui se cachait depuis son évasion, avait affirmé lundi lors d'un entretien à la télévision France 3 qu'il acceptait de se rendre à condition d'être incarcéré près de chez lui.
Il s'était plaint des conditions de détention dans la prison de Chateaudun (nord, à plusieurs centaines de km de là), où il était détenu en attendant son procès.
Son casier judiciaire présentait déjà de multiples condamnations pour outrage à personne dépositaire de l'autorité publique, recel, menaces, violences aggravées et trafic de stupéfiant.
Le jeune homme a été placé en garde à vue pour être interrogé sur son évasion du tribunal où il devait être jugé, selon le procureur.
Début août, il était apparu à visage découvert dans une vidéo postée sur internet, dans laquelle il narguait les forces de l'ordre, se préparait un joint, rappait et exhibait les menottes qu'il portait le jour où il s'était échappé. La vidéo a été vue plus de 360.000 fois depuis sa mise en ligne.
Le 27 juin, il s'était évadé lors de son transfert au tribunal de Besançon, profitant de l'arrêt du fourgon cellulaire dans la cour pour se glisser sous une porte automatique. Le tribunal l'avait condamné par contumace à un an de prison ferme avec mandat d'arrêt pour violences aggravées.
Saïd Bahmed, qui se cachait depuis son évasion, avait affirmé lundi lors d'un entretien à la télévision France 3 qu'il acceptait de se rendre à condition d'être incarcéré près de chez lui.
Il s'était plaint des conditions de détention dans la prison de Chateaudun (nord, à plusieurs centaines de km de là), où il était détenu en attendant son procès.
Son casier judiciaire présentait déjà de multiples condamnations pour outrage à personne dépositaire de l'autorité publique, recel, menaces, violences aggravées et trafic de stupéfiant.