Depuis l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, c’est la troisième fois que la fonction publique organise une journée de grève pour se mobiliser.
Ce sont pas moins de 140 manifestations qui sont prévues, mardi, à travers toute la France.
Les fonctionnaires protestent principalement contre la suppression de 120.000 postes et l’instauration d’une rémunération au mérite.
Le gouvernement prévoit également de recourir de manière régulière à des contractuels comme le rappelle la chaîne d’informations CNews.
Les salariés du secteur hospitalier réclament, de leur côté, une amélioration de leurs conditions de rémunération et de travail.
Parmi les conséquences de cette journée de blocage, de nombreux établissements scolaires ne sont pas en mesure de dispenser les cours aux élèves.
À Nice (Sud est) notamment, les cantines et garderies sont fermées.
La France est en proie à de réguliers mouvements de grève depuis le début de l’année.
Pour rappel, les prémices de ces grèves à répétition ont été déclenchées en début d’année avec une forte mobilisation chez les cheminots.
Depuis le 3 avril, les syndicats appellent à une grève perlée qui paralyse le trafic au moins deux jours par semaine. Les dernières journées de grève ont eu lieu vendredi et samedi, rappelle le journal Le Parisien.
Ils refusent la loi sur l’ouverture à la concurrence de l’ensemble du réseau de chemins de fer français avec un calendrier progressif qui s’échelonnera à compter de décembre 2019 dans certaines régions.
Le statut des cheminots a également été affecté par la nouvelle loi, puisqu’elle prévoit la fin de ce statut avantageux pour les nouveaux contrats de travail.
C’est cette mesure qui était la plus contestée par les grévistes.
Les étudiants, eux aussi, se mobilisent régulièrement par le blocage de leurs facultés pour protester contre le nouveau système « parcoursup » réservé à ceux qui veulent effectuer des études supérieures mais après une sélection entre les élèves.
Une mobilisation d’envergure est prévue le 26 mai dans tout le pays, à l’appel de nombreux syndicats dont la CGT et FO.
Ce sont pas moins de 140 manifestations qui sont prévues, mardi, à travers toute la France.
Les fonctionnaires protestent principalement contre la suppression de 120.000 postes et l’instauration d’une rémunération au mérite.
Le gouvernement prévoit également de recourir de manière régulière à des contractuels comme le rappelle la chaîne d’informations CNews.
Les salariés du secteur hospitalier réclament, de leur côté, une amélioration de leurs conditions de rémunération et de travail.
Parmi les conséquences de cette journée de blocage, de nombreux établissements scolaires ne sont pas en mesure de dispenser les cours aux élèves.
À Nice (Sud est) notamment, les cantines et garderies sont fermées.
La France est en proie à de réguliers mouvements de grève depuis le début de l’année.
Pour rappel, les prémices de ces grèves à répétition ont été déclenchées en début d’année avec une forte mobilisation chez les cheminots.
Depuis le 3 avril, les syndicats appellent à une grève perlée qui paralyse le trafic au moins deux jours par semaine. Les dernières journées de grève ont eu lieu vendredi et samedi, rappelle le journal Le Parisien.
Ils refusent la loi sur l’ouverture à la concurrence de l’ensemble du réseau de chemins de fer français avec un calendrier progressif qui s’échelonnera à compter de décembre 2019 dans certaines régions.
Le statut des cheminots a également été affecté par la nouvelle loi, puisqu’elle prévoit la fin de ce statut avantageux pour les nouveaux contrats de travail.
C’est cette mesure qui était la plus contestée par les grévistes.
Les étudiants, eux aussi, se mobilisent régulièrement par le blocage de leurs facultés pour protester contre le nouveau système « parcoursup » réservé à ceux qui veulent effectuer des études supérieures mais après une sélection entre les élèves.
Une mobilisation d’envergure est prévue le 26 mai dans tout le pays, à l’appel de nombreux syndicats dont la CGT et FO.