
Alain Souchon
Patient mais sans doute las après des heures passées debout devant la grande scène à attendre le début du concert à minuit, le public, un peu moins nombreux que les jours précédents (moins de 10.000 personnes), s'est laissé bercer par les douces mélodies d'Alain Souchon.
Peu soucieux de plaire et à l'aise dans sa sobriété dilettante, le chanteur a enchaîné "On s'aime pas" et "Des regrets", avant d'inviter sur scène son fils aîné Pierre, avec qui il a notamment interprété une chanson co-écrite avec lui, "Parachutes dorés".
Ont suivi la jeune chanteuse Jeanne Cherhal ("Pays d'amour"), qui l'a qualifié de "roi de la colère canalisée", Maxime Leforestier ("En bas là-bas") avec qui Souchon a chanté Brassens, puis son fils cadet Charles alias Ours.
Mais ce n'est que lorsqu'il a invité avec humour le public à chanter et que les paroles de ses chansons ont défilé sur des écrans géants que la foule s'est vraiment réveillée, reprenant alors haut et fort les chansons qui ont brillé tout au long de sa carrière, dont "Foule Sentimentale".
Enfin, celui que beaucoup espéraient est arrivé: Laurent Voulzy. Reformant un instant le duo mythique de leurs tout débuts, les deux complices ont presque aussitôt démarré avec un classique, "J'ai dix ans".
Auparavant le public s'était déchaîné sur le rock western, festif et mêlé de celtitude des Cowboys Fringants, Québécois à l'accent chaleureux et aux rythmes endiablés.
Au son du violon, du banjo, de l'accordéon, des guitares et de la mandoline, les Cowboys Fringants et leur leader Jean-François Pauzé ont fait danser la foule qui a repris plusieurs refrains et leur a fait un triomphe.
Sur la même grande scène les avaient précédés De Palmas, Féfé, et des jeunes artistes des Dom-Tom sélectionnés par le festival, tandis que sur une autre scène, se reformait autour de Gabriel Yacoub le groupe Malicorne, des stars françaises du folk des années 70 et que revenait également un autre Québécois, Michel Rivard.
Amateurs de musique, vacanciers et Rochelois ont pu admirer entre deux concerts le feu d'artifice, prévu pour le 14 juillet mais reporté à jeudi en raison du vent.
Peu soucieux de plaire et à l'aise dans sa sobriété dilettante, le chanteur a enchaîné "On s'aime pas" et "Des regrets", avant d'inviter sur scène son fils aîné Pierre, avec qui il a notamment interprété une chanson co-écrite avec lui, "Parachutes dorés".
Ont suivi la jeune chanteuse Jeanne Cherhal ("Pays d'amour"), qui l'a qualifié de "roi de la colère canalisée", Maxime Leforestier ("En bas là-bas") avec qui Souchon a chanté Brassens, puis son fils cadet Charles alias Ours.
Mais ce n'est que lorsqu'il a invité avec humour le public à chanter et que les paroles de ses chansons ont défilé sur des écrans géants que la foule s'est vraiment réveillée, reprenant alors haut et fort les chansons qui ont brillé tout au long de sa carrière, dont "Foule Sentimentale".
Enfin, celui que beaucoup espéraient est arrivé: Laurent Voulzy. Reformant un instant le duo mythique de leurs tout débuts, les deux complices ont presque aussitôt démarré avec un classique, "J'ai dix ans".
Auparavant le public s'était déchaîné sur le rock western, festif et mêlé de celtitude des Cowboys Fringants, Québécois à l'accent chaleureux et aux rythmes endiablés.
Au son du violon, du banjo, de l'accordéon, des guitares et de la mandoline, les Cowboys Fringants et leur leader Jean-François Pauzé ont fait danser la foule qui a repris plusieurs refrains et leur a fait un triomphe.
Sur la même grande scène les avaient précédés De Palmas, Féfé, et des jeunes artistes des Dom-Tom sélectionnés par le festival, tandis que sur une autre scène, se reformait autour de Gabriel Yacoub le groupe Malicorne, des stars françaises du folk des années 70 et que revenait également un autre Québécois, Michel Rivard.
Amateurs de musique, vacanciers et Rochelois ont pu admirer entre deux concerts le feu d'artifice, prévu pour le 14 juillet mais reporté à jeudi en raison du vent.