Muhammad Ali est considéré comme le plus grand athlète du XXe siècle et on peut lire à travers son parcours l'histoire des Etats-Unis depuis la lutte pour l'abolition de la ségrégation raciale jusqu’à l’élection de Barack Obama.
L'auteur a exploré au travers de centaines de témoignages l'extraordinaire destin de cette icône des années 60/70. Depuis le jeune homme naïf des J.O. de Rome jusqu’au vieillard allumant la torche de ceux d’Atlanta, sa vie est une saga qui va de la contestation radicale (Richard Nixon a dansé dans le bureau ovale quand Ali a été battu pour la première fois) à la remise de la plus haute distinction civile en 2005 par George W. Bush, en passant par la poignée de main de Gerald Ford et les missions diplomatiques confiées par Jimmy Carter.
Frédéric Roux a publié une quinzaine de livres dont "Lève ton gauche !" (1984, Ramsay), "Mal de père" (1996, Flammarion), "Mike Tyson, un cauchemar américain" (1999, Grasset), "Fils de Sultan" (2002, Mille et une nuits), Ring, (2004, Grasset), "Hyperman", (2006, Bourin Editions) ou encore "Eloge du mauvais goût" (2012, Le Rocher).
Le Prix France Culture–Télérama avait été attribué en 2012 à Alain Julien Rudefoucauld pour "Le dernier contingent" (Tristam).
L'auteur a exploré au travers de centaines de témoignages l'extraordinaire destin de cette icône des années 60/70. Depuis le jeune homme naïf des J.O. de Rome jusqu’au vieillard allumant la torche de ceux d’Atlanta, sa vie est une saga qui va de la contestation radicale (Richard Nixon a dansé dans le bureau ovale quand Ali a été battu pour la première fois) à la remise de la plus haute distinction civile en 2005 par George W. Bush, en passant par la poignée de main de Gerald Ford et les missions diplomatiques confiées par Jimmy Carter.
Frédéric Roux a publié une quinzaine de livres dont "Lève ton gauche !" (1984, Ramsay), "Mal de père" (1996, Flammarion), "Mike Tyson, un cauchemar américain" (1999, Grasset), "Fils de Sultan" (2002, Mille et une nuits), Ring, (2004, Grasset), "Hyperman", (2006, Bourin Editions) ou encore "Eloge du mauvais goût" (2012, Le Rocher).
Le Prix France Culture–Télérama avait été attribué en 2012 à Alain Julien Rudefoucauld pour "Le dernier contingent" (Tristam).