Le groupe pétrolier vient de publier une "offre d'entrée" sur son permis d'exploration de Montélimar, dont il pourrait céder 50%, écrit le journal économique, citant un document interne.
Obtenu en 2010, ce permis couvre une zone de 4.300 kilomètres carrés.
Total estime que cette zone offre un "haut potentiel" et juge cette opportunité dans le gaz de schiste à la fois "importante et très significative", écrit-il aux entreprises susceptibles d'être intéressés par une collaboration, selon les Echos
Total estime que la zone pourrait contenir des ressources allant jusqu'à 2.380 milliards de mètres cubes de gaz. "Si l'on applique un taux de récupération de 40% (le haut de la fourchette aux Etats-Unis), on obtient un volume de plus de 950 milliards de mètres cubes, soit 21 fois la consommation annuelle de gaz en France". Avec un taux de 20%, on tombe à dix ans.
Interrogé par le quotidien, le directeur général de l'exploration-production de Total Yves-Louis Darricarrère a toutefois minimisé les promesses du site.
"Nos estimation se fondent sur le peu de données dont nous disposons, recueillies il y a une quarantaine d'années", note-t-il. "Elles sont calculées en multipliant la surface du permis par une teneur moyenne en gaz (....). Tout chiffre avancé aujourd'hui est purement théorique et ne peut en aucun cas être une estimation du volume qui pourrait être produit", selon M. Darricarrère.
A l'origine, le groupe s'était associé avec l'américain Devon "mais le recentrage du spécialiste des gaz de schiste sur les Etats-Unis a obligé Total à reprendre sa part", écrit le quotidien économique.
Obtenu en 2010, ce permis couvre une zone de 4.300 kilomètres carrés.
Total estime que cette zone offre un "haut potentiel" et juge cette opportunité dans le gaz de schiste à la fois "importante et très significative", écrit-il aux entreprises susceptibles d'être intéressés par une collaboration, selon les Echos
Total estime que la zone pourrait contenir des ressources allant jusqu'à 2.380 milliards de mètres cubes de gaz. "Si l'on applique un taux de récupération de 40% (le haut de la fourchette aux Etats-Unis), on obtient un volume de plus de 950 milliards de mètres cubes, soit 21 fois la consommation annuelle de gaz en France". Avec un taux de 20%, on tombe à dix ans.
Interrogé par le quotidien, le directeur général de l'exploration-production de Total Yves-Louis Darricarrère a toutefois minimisé les promesses du site.
"Nos estimation se fondent sur le peu de données dont nous disposons, recueillies il y a une quarantaine d'années", note-t-il. "Elles sont calculées en multipliant la surface du permis par une teneur moyenne en gaz (....). Tout chiffre avancé aujourd'hui est purement théorique et ne peut en aucun cas être une estimation du volume qui pourrait être produit", selon M. Darricarrère.
A l'origine, le groupe s'était associé avec l'américain Devon "mais le recentrage du spécialiste des gaz de schiste sur les Etats-Unis a obligé Total à reprendre sa part", écrit le quotidien économique.