"L'Ukraine ne consomme pas l'ensemble du gaz prévu dans le contrat, et devrait payer des pénalités. Mais nous lui avons pardonné ces pénalités, parce que nous connaissons la réalité: elle n'a pas de quoi les payer. Les Ukrainiens sont dans une situation qui frise la faillite, et nous ne voulons pas achever nos partenaires", a-t-il affirmé lors d'une rencontre avec des mineurs.
Kiev devait verser en février 720 millions de dollars pour les 2 milliards de mètres cubes de gaz naturel qu'elle avait demandé, mais elle en a importé de facto 1,36 milliard de mètres cubes.
Le géant gazier russe Gazprom avait plus tôt renoncé, par la voix de son PDG Alexeï Miller, à réclamer les pénalités à l'Ukraine. M. Miller avait cependant rappelé que les contrats prévoyaient un volume d'importation mensuel minimum, que l'Ukraine est tenue d'acheter et payer avant le 7 du mois suivant, sous peine de devoir payer les nouvelles livraisons par acompte.
Les impayés ukrainiens ont été à l'origine d'un important conflit gazier qui a provoqué une pénurie d'hydrocarbures dans plusieurs pays européens courant janvier.
Kiev devait verser en février 720 millions de dollars pour les 2 milliards de mètres cubes de gaz naturel qu'elle avait demandé, mais elle en a importé de facto 1,36 milliard de mètres cubes.
Le géant gazier russe Gazprom avait plus tôt renoncé, par la voix de son PDG Alexeï Miller, à réclamer les pénalités à l'Ukraine. M. Miller avait cependant rappelé que les contrats prévoyaient un volume d'importation mensuel minimum, que l'Ukraine est tenue d'acheter et payer avant le 7 du mois suivant, sous peine de devoir payer les nouvelles livraisons par acompte.
Les impayés ukrainiens ont été à l'origine d'un important conflit gazier qui a provoqué une pénurie d'hydrocarbures dans plusieurs pays européens courant janvier.