La Commission européenne a infligé en juillet dernier une amende de 4,3 milliards d’euros à la firme américaine pour abus de position dominante avec son système d’exploitation mobile Android, accusant Google d’imposer “des restrictions illégales aux fabricants d’appareils Android (...) afin de consolider sa position dominante sur le marché de la recherche générale sur internet”.
L’UE a aussi exigé de Google qu’il mette fin à ses pratiques anticoncurrentielles sous peine de recevoir des pénalités supplémentaires susceptibles d’atteindre 5% du chiffre d’affaires quotidien moyen de sa maison-mère Alphabet dans le monde.
Google va désormais essayer de s’assurer que les utilisateurs d’Android ont conscience qu’ils peuvent utiliser d’autres moteur et service de recherche que Chrome et l’application Google Search, a dit dans un blog le vice-président des affaires mondiales, Kent Walker.
“Dans les mois qui viennent, via le Play Store, nous allons demander aux actuels et nouveaux utilisateurs d’appareils Android en Europe quels moteur et application de recherche ils veulent utiliser”, a-t-il écrit, sans davantage de détails.
L’UE a aussi exigé de Google qu’il mette fin à ses pratiques anticoncurrentielles sous peine de recevoir des pénalités supplémentaires susceptibles d’atteindre 5% du chiffre d’affaires quotidien moyen de sa maison-mère Alphabet dans le monde.
Google va désormais essayer de s’assurer que les utilisateurs d’Android ont conscience qu’ils peuvent utiliser d’autres moteur et service de recherche que Chrome et l’application Google Search, a dit dans un blog le vice-président des affaires mondiales, Kent Walker.
“Dans les mois qui viennent, via le Play Store, nous allons demander aux actuels et nouveaux utilisateurs d’appareils Android en Europe quels moteur et application de recherche ils veulent utiliser”, a-t-il écrit, sans davantage de détails.