Cette marque d’estime la touche et la ravit. «C’est vraiment le fun de recevoir un prix du public à mon vingtième anniversaire comme romancière.»
Ce l’est d’autant plus que le roman primé, Sans rien ni personne, une intrigue policière, était un projet qui lui faisait un peu peur
et qu’elle a écrit dans une phase critique de sa vie et de sa carrière.
C’est que l’immense succès de sa trilogie Le goût du bonheur, vendue à plus d’un demi-million d’exemplaires au Québec seulement, avait déclenché une tempête dans sa vie.
Un polar
La beauté du succès exceptionnel qu’elle a connu avec la trilogie, «c’est qu’il m’a apporté la liberté, pas seulement la liberté absolue de créer, mais aussi, la liberté dans le temps».
Elle s’est lancé dans l’aventure d’écrire un polar par défi.
«Je peux le dire aujourd’hui, j’avais peur d’échouer, peur de ne pas avoir le talent de mener une intrigue.»
Plus de 92 000 exemplaires vendus et maintenant cette marque d’estime du grand public devraient la rassurer. Mais cela ne va pas lui monter à la tête, assure-t-elle.
«C’est heureux que ce succès phénoménal me soit venu sur le tard, après mes 50 ans», dit Mme Laberge, qui en a aujourd’hui 58. «Il faut de bonnes épaules pour le porter. Il faut savoir qui on est. Il ne faut pas s’enfler la tête et commencer à se prendre pour un être exceptionnel parce qu’on connaît un succès exceptionnel.»
«Je ne suis pas un être exceptionnel, je travaille fort. Il n’y a rien de magique, il faut tout construire. J’écris avec une passion qui heureusement ne m’a jamais lâchée.»
Ce l’est d’autant plus que le roman primé, Sans rien ni personne, une intrigue policière, était un projet qui lui faisait un peu peur
et qu’elle a écrit dans une phase critique de sa vie et de sa carrière.
C’est que l’immense succès de sa trilogie Le goût du bonheur, vendue à plus d’un demi-million d’exemplaires au Québec seulement, avait déclenché une tempête dans sa vie.
Un polar
La beauté du succès exceptionnel qu’elle a connu avec la trilogie, «c’est qu’il m’a apporté la liberté, pas seulement la liberté absolue de créer, mais aussi, la liberté dans le temps».
Elle s’est lancé dans l’aventure d’écrire un polar par défi.
«Je peux le dire aujourd’hui, j’avais peur d’échouer, peur de ne pas avoir le talent de mener une intrigue.»
Plus de 92 000 exemplaires vendus et maintenant cette marque d’estime du grand public devraient la rassurer. Mais cela ne va pas lui monter à la tête, assure-t-elle.
«C’est heureux que ce succès phénoménal me soit venu sur le tard, après mes 50 ans», dit Mme Laberge, qui en a aujourd’hui 58. «Il faut de bonnes épaules pour le porter. Il faut savoir qui on est. Il ne faut pas s’enfler la tête et commencer à se prendre pour un être exceptionnel parce qu’on connaît un succès exceptionnel.»
«Je ne suis pas un être exceptionnel, je travaille fort. Il n’y a rien de magique, il faut tout construire. J’écris avec une passion qui heureusement ne m’a jamais lâchée.»