A l’approche des élections législatives du 12 décembre, la chaîne publique, financée uniquement par la publicité, avait invité les dirigeants des principaux partis à un débat sur le climat mais Boris Johnson, ainsi que le chef du Parti du Brexit Nigel Farage, ont décliné.
Le Parti conservateur a proposé que Boris Johnson soit remplacé par l’un des ténors de son gouvernement, Michael Gove, ancien ministre de l’environnement, mais Channel 4 a refusé, arguant que les conservateurs devaient être traités à la même enseigne que les autres partis, qui ont envoyé leurs dirigeants.
Les conservateurs ont dénoncé auprès de l’Ofcom, l’autorité britannique de régulation des médias, un manquement de la chaîne à son devoir d’impartialité et aux règles de la campagne électorale sur l’équité des temps d’antenne.
Ben de OPear, rédacteur en chef de la principale émission d’actualité de Channel 4, a comparé le comportement de Boris Johnson vis-à-vis des médias à celui de Donald Trump.
“Mettez votre dirigeant Boris Johnson à côté des autres dirigeants et cessez de jouer à ces petits jeux. Ne refusez pas pour ensuite menacer notre licence : c’est une pente glissante”, a-t-il dit à l’adresse des tories.
Boris Johnson a jusqu’ici refusé de passer sur le gril du journaliste de la BBC Andrew Neil, qui a donné mardi du fil à retordre au chef de l’opposition travailliste Jeremy Corbyn.
Le Parti conservateur a proposé que Boris Johnson soit remplacé par l’un des ténors de son gouvernement, Michael Gove, ancien ministre de l’environnement, mais Channel 4 a refusé, arguant que les conservateurs devaient être traités à la même enseigne que les autres partis, qui ont envoyé leurs dirigeants.
Les conservateurs ont dénoncé auprès de l’Ofcom, l’autorité britannique de régulation des médias, un manquement de la chaîne à son devoir d’impartialité et aux règles de la campagne électorale sur l’équité des temps d’antenne.
Ben de OPear, rédacteur en chef de la principale émission d’actualité de Channel 4, a comparé le comportement de Boris Johnson vis-à-vis des médias à celui de Donald Trump.
“Mettez votre dirigeant Boris Johnson à côté des autres dirigeants et cessez de jouer à ces petits jeux. Ne refusez pas pour ensuite menacer notre licence : c’est une pente glissante”, a-t-il dit à l’adresse des tories.
Boris Johnson a jusqu’ici refusé de passer sur le gril du journaliste de la BBC Andrew Neil, qui a donné mardi du fil à retordre au chef de l’opposition travailliste Jeremy Corbyn.