L'intersyndicale CGT, CFDT, SUD, FO, CFTC, FSU, UNSA du ministère de la Culture avait appelé jeudi 26 novembre à une grève reconductible sur l'ensemble du ministère à partir de ce mercredi 2 décembre. Les syndicats protestent contre les réductions d'effectifs à venir, dans le cadre de la révision générale des politiques publiques (RGPP). Celle-ci prévoit le non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux.
L'intersyndicale du ministère de la Culture devait être reçue mercredi en fin d'après-midi par le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand.
Sur les 31 musées nationaux en France, six étaient fermés en raison de la grève, soit un sur cinq, selon la Direction des musées nationaux.
A Paris, outre le Centre Pompidou, en grève depuis le 23 novembre, le musée d'Orsay, le musée Rodin, le musée Gustave Moreau étaient fermés en raison de la grève, selon la direction des musées de France.
En province (où se trouvent six musées nationaux), le musée du château de Pau et le musée Picasso de Vallauris étaient fermés pour la même raison.
Du côté des monuments historiques, six sur 96 étaient fermés en raison de la grève, selon le Centre des monuments nationaux (CMN).
A Paris, l'Arc de Triomphe et la Sainte-Chapelle étaient fermés. Le château d'Azay-Le-Rideau, les remparts d'Aigues-Mortes, le château et les remparts de Carcassonne et la tour de la chaîne à la Rochelle n'étaient pas acccessibles au public pour cause de grève.
Au musée d'Orsay, où la grève a été votée, une nouvelle assemblée générale aura lieu jeudi pour voir la suite à donner au mouvement.
L'ensemble du Domaine national de Versailles et Trianon et le domaine de Marly ont été ouverts normalement, avec une heure de retard pour attendre le résultat de l'assemblée générale des personnels.
Une assemblée générale s'est également tenue au Louvre mais le musée a été en mesure d'ouvrir. Les visiteurs bénéficient pour cette journée d'un demi tarif, sauf pour l'exposition temporaire "Rivalités à Venise" qui reste au tarif plein, a indiqué la direction du Louvre.
Le Centre Pompidou, en grève depuis le 23 novembre, est toujours fermé. Il est particulièrement touché par la réduction d'effectifs. L'application stricte de la RGPP aurait pour effet la suppressions de 26 postes en 2010. La direction du Centre Pompidou propose de ramener à 18 cette baisse d'emplois, mais les syndicats ont rejeté cette idée.
"Nous n'avons pas eu assez de temps pour préparer cette journée nationale. Mais on ne pouvait pas laisser le Centre Pompidou seul", a déclaré Franck Guillaumet, secrétaire de la CGT-Culture, interrogé par l'AFP.
"Une dynamique est en train de se créer. Il faut continuer à se bagarrer pour élargir le mouvement", a-t-il affirmé.
L'intersyndicale du ministère de la Culture devait être reçue mercredi en fin d'après-midi par le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand.
Sur les 31 musées nationaux en France, six étaient fermés en raison de la grève, soit un sur cinq, selon la Direction des musées nationaux.
A Paris, outre le Centre Pompidou, en grève depuis le 23 novembre, le musée d'Orsay, le musée Rodin, le musée Gustave Moreau étaient fermés en raison de la grève, selon la direction des musées de France.
En province (où se trouvent six musées nationaux), le musée du château de Pau et le musée Picasso de Vallauris étaient fermés pour la même raison.
Du côté des monuments historiques, six sur 96 étaient fermés en raison de la grève, selon le Centre des monuments nationaux (CMN).
A Paris, l'Arc de Triomphe et la Sainte-Chapelle étaient fermés. Le château d'Azay-Le-Rideau, les remparts d'Aigues-Mortes, le château et les remparts de Carcassonne et la tour de la chaîne à la Rochelle n'étaient pas acccessibles au public pour cause de grève.
Au musée d'Orsay, où la grève a été votée, une nouvelle assemblée générale aura lieu jeudi pour voir la suite à donner au mouvement.
L'ensemble du Domaine national de Versailles et Trianon et le domaine de Marly ont été ouverts normalement, avec une heure de retard pour attendre le résultat de l'assemblée générale des personnels.
Une assemblée générale s'est également tenue au Louvre mais le musée a été en mesure d'ouvrir. Les visiteurs bénéficient pour cette journée d'un demi tarif, sauf pour l'exposition temporaire "Rivalités à Venise" qui reste au tarif plein, a indiqué la direction du Louvre.
Le Centre Pompidou, en grève depuis le 23 novembre, est toujours fermé. Il est particulièrement touché par la réduction d'effectifs. L'application stricte de la RGPP aurait pour effet la suppressions de 26 postes en 2010. La direction du Centre Pompidou propose de ramener à 18 cette baisse d'emplois, mais les syndicats ont rejeté cette idée.
"Nous n'avons pas eu assez de temps pour préparer cette journée nationale. Mais on ne pouvait pas laisser le Centre Pompidou seul", a déclaré Franck Guillaumet, secrétaire de la CGT-Culture, interrogé par l'AFP.
"Une dynamique est en train de se créer. Il faut continuer à se bagarrer pour élargir le mouvement", a-t-il affirmé.