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Selon cet arrêté du ministère de l'Ecologie et de l'Intérieur, publié au Journal officiel (JO), les véhicules assurant l'acheminement d'hydrocarbures et de produits chimiques, liquides et gazeux, pourront circuler dans toute la France du samedi 9 à partir de 22H00 et jusqu'au dimanche 10 octobre jusqu'à 22H00. Ces dispositions seront reconduites le week-end suivant.
Et ce "en vue de pallier le cas échéant à titre préventif, les carences" d'approvisionnement en produits d'hydrocarbures et chimiques en raison de "la situation persistante de blocage des terminaux de Fos et de Lavera du grand port maritime de Marseille dans le cadre d'un mouvement social", selon le JO.
Normalement, les véhicules de plus de 7,5 tonnes transportant des marchandises sont interdits de circulation les samedis à partir de 22 heures et dimanche jusqu'à 22 heures.
Vendredi, les agents des terminaux pétroliers de Fos et de Lavera entamaient leur 12e jour de grève, à l'appel du syndicat CGT des agents du Grand Port maritime de Marseille (GPMM), pour protester contre la mise sur pied d'une filiale pour gérer ces terminaux dans le cadre de la réforme portuaire.
Cette grève occasionne depuis le blocage de 51 navires (3 chimiquiers, 11 navires propane/butane, 19 pétroliers de brut, 15 pétroliers de raffinés et 3 péniches), a précisé le GPMM.
Et ce "en vue de pallier le cas échéant à titre préventif, les carences" d'approvisionnement en produits d'hydrocarbures et chimiques en raison de "la situation persistante de blocage des terminaux de Fos et de Lavera du grand port maritime de Marseille dans le cadre d'un mouvement social", selon le JO.
Normalement, les véhicules de plus de 7,5 tonnes transportant des marchandises sont interdits de circulation les samedis à partir de 22 heures et dimanche jusqu'à 22 heures.
Vendredi, les agents des terminaux pétroliers de Fos et de Lavera entamaient leur 12e jour de grève, à l'appel du syndicat CGT des agents du Grand Port maritime de Marseille (GPMM), pour protester contre la mise sur pied d'une filiale pour gérer ces terminaux dans le cadre de la réforme portuaire.
Cette grève occasionne depuis le blocage de 51 navires (3 chimiquiers, 11 navires propane/butane, 19 pétroliers de brut, 15 pétroliers de raffinés et 3 péniches), a précisé le GPMM.
