Henri Guaino
Le président et le gouvernement doivent attendre le rapport, rendu "fin octobre" de la commission présidée par Alain Juppé et Michel Rocard, les deux anciens Premiers ministres qui planchent sur les affectations possibles de cet emprunt, "les travaux du Parlement" ainsi que "la fin des discussions avec les partenaires sociaux", a expliqué M. Guaino sur RMC.
Selon lui, les décisions concernant ce grand emprunt devraient donc être prises "dans la première quinzaine de novembre". L'emprunt sera "probablement" lancé "soit à l'extrême fin de l'année, soit plutôt au début de l'année prochaine", a-t-il affirmé.
Guaino est resté évasif sur son montant. "Nous allons voir", a-t-il dit, ajoutant toutefois: "il faut un investissement massif, donc un grand emprunt, à la hauteur des enjeux".
Quant à savoir si cet emprunt sera lancé auprès des institutions financières ou bien auprès du public (ou les deux et dans quelle proportion), "la question n'est pas encore tranchée", a-t-il dit, précisant: "on va aller directement sur les marchés".
Guaino a évoqué plusieurs pistes d'affectation de l'argent qui sera récolté: développement durable, réindustrialisation des bassins d'emploi en déclin, recherche, santé... "Il va falloir choisir les priorités les plus prioritaires", a-t-il dit.
Selon lui, les décisions concernant ce grand emprunt devraient donc être prises "dans la première quinzaine de novembre". L'emprunt sera "probablement" lancé "soit à l'extrême fin de l'année, soit plutôt au début de l'année prochaine", a-t-il affirmé.
Guaino est resté évasif sur son montant. "Nous allons voir", a-t-il dit, ajoutant toutefois: "il faut un investissement massif, donc un grand emprunt, à la hauteur des enjeux".
Quant à savoir si cet emprunt sera lancé auprès des institutions financières ou bien auprès du public (ou les deux et dans quelle proportion), "la question n'est pas encore tranchée", a-t-il dit, précisant: "on va aller directement sur les marchés".
Guaino a évoqué plusieurs pistes d'affectation de l'argent qui sera récolté: développement durable, réindustrialisation des bassins d'emploi en déclin, recherche, santé... "Il va falloir choisir les priorités les plus prioritaires", a-t-il dit.