Le procureur général de l'armée, le général Avichai Mandelblit, a ordonné à la police militaire de mener ces enquêtes sur la centaine de plaintes en cours d'examen, ajoute le Jerusalem Post en citant des responsables militaires.
Interrogée par l'AFP, une porte-parole de l'armée n'a pas réagi immédiatement à ces informations.
Pour un responsable militaire cité par le journal, ces enquêtes démontrent que l'armée israélienne n'a pas besoin, pour diligenter des enquêtes, des pressions d'organisations non-gouvernementales ou de groupes de défense des droits de l'Homme.
"Nous savons enquêter sur nous-mêmes et nous sommes prêts à recevoir des informations supplémentaires de la part de ces groupes", indique le responsable.
Les informations recueillies par le procureur général ont été transmises par des soldats, des Palestiniens ou des organisations comme Human Rights Watch et le Comité international de la Croix-Rouge.
L'armée enquête notamment sur des soupçons de pillages dans des maisons palestiniennes, de mauvais traitements contre des prisonniers et le recours à des civils palestiniens comme "boucliers humains".
Deux soldats ont été récemment inculpés pour avoir volé une carte de crédit à un Palestinien de Gaza et l'avoir ensuite utilisée.
L'armée a par ailleurs décidé que, lors de prochaines opérations, elle allait mieux prévenir les civils avant d'effectuer des raids aériens dans des zones résidentielles.
Durant l'opération "Plomb durci" (27 décembre-18 janvier), l'armée a largué des millions de tracts et procédé à 250.000 appels téléphoniques pour prévenir la population de bombardements imminents, selon des sources militaires.
Lors de récentes discussions, des officiers ont proposé que les tracts qui seront largués lors d'éventuelles nouvelles opérations détaillent les routes pouvant être empruntées pour fuir les combats.
Interrogée par l'AFP, une porte-parole de l'armée n'a pas réagi immédiatement à ces informations.
Pour un responsable militaire cité par le journal, ces enquêtes démontrent que l'armée israélienne n'a pas besoin, pour diligenter des enquêtes, des pressions d'organisations non-gouvernementales ou de groupes de défense des droits de l'Homme.
"Nous savons enquêter sur nous-mêmes et nous sommes prêts à recevoir des informations supplémentaires de la part de ces groupes", indique le responsable.
Les informations recueillies par le procureur général ont été transmises par des soldats, des Palestiniens ou des organisations comme Human Rights Watch et le Comité international de la Croix-Rouge.
L'armée enquête notamment sur des soupçons de pillages dans des maisons palestiniennes, de mauvais traitements contre des prisonniers et le recours à des civils palestiniens comme "boucliers humains".
Deux soldats ont été récemment inculpés pour avoir volé une carte de crédit à un Palestinien de Gaza et l'avoir ensuite utilisée.
L'armée a par ailleurs décidé que, lors de prochaines opérations, elle allait mieux prévenir les civils avant d'effectuer des raids aériens dans des zones résidentielles.
Durant l'opération "Plomb durci" (27 décembre-18 janvier), l'armée a largué des millions de tracts et procédé à 250.000 appels téléphoniques pour prévenir la population de bombardements imminents, selon des sources militaires.
Lors de récentes discussions, des officiers ont proposé que les tracts qui seront largués lors d'éventuelles nouvelles opérations détaillent les routes pouvant être empruntées pour fuir les combats.