L’ONG internationale s’est ainsi exprimée dans son 29ème rapport annuel mondial sur la situation des droits de l'homme dans plus de 100 pays.
"Mais à lui seul, ce meurtre a eu un effet mobilisateur", a déclaré le directeur exécutif de l'organisation, Kenneth Roth, lors d'une conférence de presse.
L'incident, a-t-il ajouté, a incité de nombreux pays à imposer des sanctions au gouvernement et aux responsables saoudiens, y compris une interdiction des ventes d’armes à Riyad.
A cet effet, Roth a loué les efforts des gouvernements de petits pays européens tels que les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg et l'Irlande ou encore le Canada pour enquêter sur les crimes de guerre commis au Yémen.
"A l’initiative [de ces pays], le Conseil des droits de l'homme a également rejeté une tentative vigoureuse de l'Arabie saoudite pour éviter un examen des crimes de guerre commis au Yémen, comme les bombardements répétés et l'encerclement dévastateur de civils yéménites par la coalition dirigée par Riyad", a-t-il souligné.
Roth pense, en effet, que "quand des gouvernements voient des avantages politiques ou économiques dans la violation des droits, les défenseurs des droits peuvent encore accroître le prix à payer pour ces abus et inverser le rapport coûts-bénéfices pour convaincre ces gouvernements que la répression ne paye pas".
"Mais à lui seul, ce meurtre a eu un effet mobilisateur", a déclaré le directeur exécutif de l'organisation, Kenneth Roth, lors d'une conférence de presse.
L'incident, a-t-il ajouté, a incité de nombreux pays à imposer des sanctions au gouvernement et aux responsables saoudiens, y compris une interdiction des ventes d’armes à Riyad.
A cet effet, Roth a loué les efforts des gouvernements de petits pays européens tels que les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg et l'Irlande ou encore le Canada pour enquêter sur les crimes de guerre commis au Yémen.
"A l’initiative [de ces pays], le Conseil des droits de l'homme a également rejeté une tentative vigoureuse de l'Arabie saoudite pour éviter un examen des crimes de guerre commis au Yémen, comme les bombardements répétés et l'encerclement dévastateur de civils yéménites par la coalition dirigée par Riyad", a-t-il souligné.
Roth pense, en effet, que "quand des gouvernements voient des avantages politiques ou économiques dans la violation des droits, les défenseurs des droits peuvent encore accroître le prix à payer pour ces abus et inverser le rapport coûts-bénéfices pour convaincre ces gouvernements que la répression ne paye pas".