Benoît Hamon
Interrogé sur RMC et BFM-TV, Hamon a affirmé que la première secrétaire du PS a dit à M. Valls que "si cette liberté de parler se traduit par le fait de taper systématiquement sur le Parti socialiste (...) d'être plus gentil finalement avec la droite que tu ne l'es avec le Parti socialiste, faudra que tu en tires les conséquences".
"On n'en est pas là aujourd'hui. Je ne pense pas que la question du départ de Manuel Valls soit objectivement posée", a-t-il afirmé.
Martine Aubry "a dit à Manuel Valls une chose simple: +Appliquons-nous, à nous socialistes, des règles de vie, des règles de respect mutuel que nous demandons aux Français de s'appliquer à eux-mêmes+", a-t-il souligné.
La première secrétaire a transmis à la presse sa lettre-ultimatum "car les positions de Manuel Valls sont elles-mêmes publiques, donc il était assez légitime qu'elle réponde sur le même terrain", a-t-il estimé.
L'ex-député européen, interrogé sur une possible candidature aux régionales, a répondu qu'il ne serait "pas candidat à la présidence d'une région".
Il a annoncé qu'il allait en "septembre" "diriger une société" dans "le secteur de l'opinion" (sondages) et "à côté enseigner à l'université".
M. Hamon "reste, en dépit de tout, très fier d'être porte-parole de ce grand parti qui, s'il connaît une crise, incontestablement, reste un grand parti".
"On n'en est pas là aujourd'hui. Je ne pense pas que la question du départ de Manuel Valls soit objectivement posée", a-t-il afirmé.
Martine Aubry "a dit à Manuel Valls une chose simple: +Appliquons-nous, à nous socialistes, des règles de vie, des règles de respect mutuel que nous demandons aux Français de s'appliquer à eux-mêmes+", a-t-il souligné.
La première secrétaire a transmis à la presse sa lettre-ultimatum "car les positions de Manuel Valls sont elles-mêmes publiques, donc il était assez légitime qu'elle réponde sur le même terrain", a-t-il estimé.
L'ex-député européen, interrogé sur une possible candidature aux régionales, a répondu qu'il ne serait "pas candidat à la présidence d'une région".
Il a annoncé qu'il allait en "septembre" "diriger une société" dans "le secteur de l'opinion" (sondages) et "à côté enseigner à l'université".
M. Hamon "reste, en dépit de tout, très fier d'être porte-parole de ce grand parti qui, s'il connaît une crise, incontestablement, reste un grand parti".