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En tournée en France depuis le début du mois, le rockeur s'est posé à Paris, là où il est né le 15 juin 1943, pour célébrer son anniversaire sur scène, une habitude solidement ancrée chez lui.
Par le passé, Johnny Hallyday a déjà soufflé ses bougies au Parc des Princes, au Palais des Sports ou au Stade de France.
Cette fois c'est à Bercy -- où il s'est installé vendredi et jusqu'à dimanche -- que la fête aura lieu. Le concert de ce samedi -- pour lequel 20.000 billets se sont envolés en deux heures -- sera retransmis en direct sur RTL et TF1 et de nombreux invités sont attendus au côté de Johnny Hallyday, dont Florent Pagny, Amel Bent et son vieux complice Eddy Mitchell.
Sitôt descendu de scène, le rockeur filera dans le IXe arrondissement de la capitale, à quelques rues de son lieu de naissance, pour un deuxième spectacle dans une petite salle, le Théâtre de Paris.
Pour ce concert privé -- seules 600 places ont été ouvertes au public -- auquel devraient se bousculer de nombreuses célébrités, Johnny Hallyday a prévu de se faire plaisir.
Il compte faire la part belle au rock'n'roll, son amour de toujours, avec une formation resserrée et des musiciens vibrant au même rythme, comme le chanteur et guitariste américain Brian Setzer, qui a porté haut les couleurs du rockabilly avec les Stray Cats.
"Heureux", "requinqué", "tonique"... ceux qui l'ont approché au cours des dernières semaines décrivent un Johnny Hallyday galvanisé par ses récents succès, après une période difficile.
Après un démarrage plus lent que d'habitude, sa dernière tournée, la 181e, est finalement rentable avec plus de 700.000 spectateurs.
Son dernier album, "L'attente", écrit sur-mesure dans une veine blues-rock, a été un succès critique et commercial avec plus de 600.000 exemplaires vendus depuis sa sortie en novembre.
2009, année noire au cours de laquelle il avait frôlé la mort, est reléguée au rang de mauvais souvenir.
Johnny Hallyday a désormais le regard tourné vers l'Amérique, avec comme projet un album de duos en anglais et une tournée aux Etats-Unis.
Par le passé, Johnny Hallyday a déjà soufflé ses bougies au Parc des Princes, au Palais des Sports ou au Stade de France.
Cette fois c'est à Bercy -- où il s'est installé vendredi et jusqu'à dimanche -- que la fête aura lieu. Le concert de ce samedi -- pour lequel 20.000 billets se sont envolés en deux heures -- sera retransmis en direct sur RTL et TF1 et de nombreux invités sont attendus au côté de Johnny Hallyday, dont Florent Pagny, Amel Bent et son vieux complice Eddy Mitchell.
Sitôt descendu de scène, le rockeur filera dans le IXe arrondissement de la capitale, à quelques rues de son lieu de naissance, pour un deuxième spectacle dans une petite salle, le Théâtre de Paris.
Pour ce concert privé -- seules 600 places ont été ouvertes au public -- auquel devraient se bousculer de nombreuses célébrités, Johnny Hallyday a prévu de se faire plaisir.
Il compte faire la part belle au rock'n'roll, son amour de toujours, avec une formation resserrée et des musiciens vibrant au même rythme, comme le chanteur et guitariste américain Brian Setzer, qui a porté haut les couleurs du rockabilly avec les Stray Cats.
"Heureux", "requinqué", "tonique"... ceux qui l'ont approché au cours des dernières semaines décrivent un Johnny Hallyday galvanisé par ses récents succès, après une période difficile.
Après un démarrage plus lent que d'habitude, sa dernière tournée, la 181e, est finalement rentable avec plus de 700.000 spectateurs.
Son dernier album, "L'attente", écrit sur-mesure dans une veine blues-rock, a été un succès critique et commercial avec plus de 600.000 exemplaires vendus depuis sa sortie en novembre.
2009, année noire au cours de laquelle il avait frôlé la mort, est reléguée au rang de mauvais souvenir.
Johnny Hallyday a désormais le regard tourné vers l'Amérique, avec comme projet un album de duos en anglais et une tournée aux Etats-Unis.
