S'exprimant à la presse en marge des commémorations de la Bataille de la Somme à Thiepval et à l'issue de sa rencontre avec le Premier ministre britannique David Cameron sur place, Hollande a estimé que les Britanniques tentés par le Brexit comprennent enfin que "faire partie de l'UE a ses avantages".
"C'est là qu'on se rend compte qu'être dans l'Union européenne a des avantages. Et c'est, je pense, ce que les Britanniques commencent à comprendre, ceux qui ont pu être tentés par le 'Brexit' sont en train d'y réfléchir", a-t-il noté.
Et d'ajouter: "Mais la décision est prise, elle ne peut être ni reportée ni annulée. Maintenant il faut en tirer les conséquences".
Le président français a par ailleurs réitéré son appel au lancement des négociations pour la sortie du Royaume-Uni "le plus vite possible", estimant que ces négociations permettront au Royaume Uni d'avoir un statut particulier vis-à-vis de l'UE, notamment pour qu'il soit lié au marché unique, au marché européen "sous certaines conditions".
Ces conditions seront en revanche moins favorables que ce dont bénéficie le Royaume-Uni en tant qu'Etat membre à l'heure actuelle, a tenu à souligner Hollande.
"Cela aura des conséquences, forcément. Il ne peut pas y avoir autant d'avantages quand on est en dehors de l'Union que en étant dedans", a-t-il insisté.
"C'est là qu'on se rend compte qu'être dans l'Union européenne a des avantages. Et c'est, je pense, ce que les Britanniques commencent à comprendre, ceux qui ont pu être tentés par le 'Brexit' sont en train d'y réfléchir", a-t-il noté.
Et d'ajouter: "Mais la décision est prise, elle ne peut être ni reportée ni annulée. Maintenant il faut en tirer les conséquences".
Le président français a par ailleurs réitéré son appel au lancement des négociations pour la sortie du Royaume-Uni "le plus vite possible", estimant que ces négociations permettront au Royaume Uni d'avoir un statut particulier vis-à-vis de l'UE, notamment pour qu'il soit lié au marché unique, au marché européen "sous certaines conditions".
Ces conditions seront en revanche moins favorables que ce dont bénéficie le Royaume-Uni en tant qu'Etat membre à l'heure actuelle, a tenu à souligner Hollande.
"Cela aura des conséquences, forcément. Il ne peut pas y avoir autant d'avantages quand on est en dehors de l'Union que en étant dedans", a-t-il insisté.