Il n'y a "pas de solution possible" en Syrie sans "le départ" de son président Bachar el Assad, a affirmé le chef de l'Etat. "Il doit y avoir des sanctions" contre le régime syrien, a-t-il également déclaré, en ajoutant qu'il connaissait "les risques de déstabilisation, avec les risques de guerre civile" en Syrie.
"Le régime de Bachar el Assad s'est conduit de manière inacceptable, intolérable. Il a commis des actes qui le disqualifient". Il n'y a "de sortie de cette situation qu'avec le dépat de Bachar el Assad", a insisté François Hollande estimant que ce départ était "un préalable pour la transition politique".
Interrogé sur la possiblilité pour la Russie d'accueillir Bachar el Assad si celui-ci devait quitter le pouvoir, Vladimir Poutine a affirmé, ironique: "Assad a visité beaucoup plus souvent Paris que Moscou!".
"Je n'ai aucune responsabilité sur les visites d'Assad père et fils à Paris. C'était un autre temps, une autre époque", a aussitô t répliqué le président Hollande.
L'ex-président Hafez el Assad, mort en juin 2000, était venu à Paris à l'invitation de l'ancien président Jacques Chirac, le 16 juillet 1998. Son fils Bachar, qui lui a succédé à la tête de la Syrie, y est venu deux fois, à l'invitation de l'ex-président Nicolas Sarkozy, en juillet 2008 et en novembre 2009.
Hafez el Assad avait effectué une visite à Moscou en juillet 1999, sa première après l'effondrement de l'URSS huit ans plus tô t. Son fils pour sa part s'est rendu plusieurs fois ces dernières années à Moscou: en janvier 2005, en décembre 2006 et en août 2008.
"Le régime de Bachar el Assad s'est conduit de manière inacceptable, intolérable. Il a commis des actes qui le disqualifient". Il n'y a "de sortie de cette situation qu'avec le dépat de Bachar el Assad", a insisté François Hollande estimant que ce départ était "un préalable pour la transition politique".
Interrogé sur la possiblilité pour la Russie d'accueillir Bachar el Assad si celui-ci devait quitter le pouvoir, Vladimir Poutine a affirmé, ironique: "Assad a visité beaucoup plus souvent Paris que Moscou!".
"Je n'ai aucune responsabilité sur les visites d'Assad père et fils à Paris. C'était un autre temps, une autre époque", a aussitô t répliqué le président Hollande.
L'ex-président Hafez el Assad, mort en juin 2000, était venu à Paris à l'invitation de l'ancien président Jacques Chirac, le 16 juillet 1998. Son fils Bachar, qui lui a succédé à la tête de la Syrie, y est venu deux fois, à l'invitation de l'ex-président Nicolas Sarkozy, en juillet 2008 et en novembre 2009.
Hafez el Assad avait effectué une visite à Moscou en juillet 1999, sa première après l'effondrement de l'URSS huit ans plus tô t. Son fils pour sa part s'est rendu plusieurs fois ces dernières années à Moscou: en janvier 2005, en décembre 2006 et en août 2008.