"C'est la visée monstrueuse qu'ont les terroristes, frapper les uns pour effrayer les autres, déchaîner la violence pour faire naître la division, susciter la peur pour alimenter la méfiance et la stigmatisation", a-t-il martelé.
"Eh bien, non, je vous dis non, cette entreprise maléfique échouera, l'unité, la liberté, l'humanité, au bout du compte prévaudront", a enchaîné le chef de l'Etat.
François Hollande s'exprimait devant les familles de victimes, des membres du gouvernement et de nombreux responsables politiques parmi lesquels Nicolas Sarkozy, Alain Juppé ou Marine Le Pen.
"Les victimes de cette barbarie n'avaient pas toutes la même origine, pas toutes le même parcours, pas toutes la même couleur de peau, pas toutes la même religion mais elles sont unies aujourd'hui par le malheur", a encore relevé le chef de l'Etat.
Il était "admirable", a-t-il encore souligné, que "partout des prières se sont élevées, dans toutes les églises, dans toutes les mosquées, dans toutes les synagogues de Nice".
"Eh bien, non, je vous dis non, cette entreprise maléfique échouera, l'unité, la liberté, l'humanité, au bout du compte prévaudront", a enchaîné le chef de l'Etat.
François Hollande s'exprimait devant les familles de victimes, des membres du gouvernement et de nombreux responsables politiques parmi lesquels Nicolas Sarkozy, Alain Juppé ou Marine Le Pen.
"Les victimes de cette barbarie n'avaient pas toutes la même origine, pas toutes le même parcours, pas toutes la même couleur de peau, pas toutes la même religion mais elles sont unies aujourd'hui par le malheur", a encore relevé le chef de l'Etat.
Il était "admirable", a-t-il encore souligné, que "partout des prières se sont élevées, dans toutes les églises, dans toutes les mosquées, dans toutes les synagogues de Nice".