L’entreprise avait rejeté plus tôt ce mois-ci l’application de production participative (“crowdsourcing” en anglais) HKmap.live avant de revenir sur sa décision, permettant à l’application d’apparaître sur la plateforme App Store.
Dans un communiqué, Apple explique que de “nombreux clients inquiets à Hong Kong” l’ont contacté à propos de cette application et affirme avoir immédiatement commencé à enquêter sur son utilisation. La société a découvert qu’elle avait été utilisée de manière “à mettre en danger les forces de l’ordre et les habitants de Hong Kong”.
“L’application affiche les emplacements de la police et nous avons vérifié auprès du Bureau de la cybercriminalité et la technologie de Hong Kong que l’application avait été utilisée pour cibler et tendre des embuscades à la police, menacer la sécurité publique et que des criminels l’avaient utilisée pour nuire aux résidents dans des zones où ils savaient que la loi n’était pas respectée”, précise le communiqué d’Apple.
Dans un communiqué, Apple explique que de “nombreux clients inquiets à Hong Kong” l’ont contacté à propos de cette application et affirme avoir immédiatement commencé à enquêter sur son utilisation. La société a découvert qu’elle avait été utilisée de manière “à mettre en danger les forces de l’ordre et les habitants de Hong Kong”.
“L’application affiche les emplacements de la police et nous avons vérifié auprès du Bureau de la cybercriminalité et la technologie de Hong Kong que l’application avait été utilisée pour cibler et tendre des embuscades à la police, menacer la sécurité publique et que des criminels l’avaient utilisée pour nuire aux résidents dans des zones où ils savaient que la loi n’était pas respectée”, précise le communiqué d’Apple.