Lam a, ainsi, déclaré au cours d’une conférence de presse organisée vendredi, que cette mesure s’inscrivait dans le cadre de la loi sur l’état d’urgence qui sera enclenchée à partir de samedi.
"La violence détruit la ville, on ne peut tolérer une aggravation de la situation", a-t-elle affirmé.
Il s’agit d’une mesure qui date de l’époque coloniale et qui n’a pas été mise en œuvre à Hong Kong depuis 1967.
Mardi dernier un manifestant a été blessé par balle au niveau du torse lors d’affrontements avec les forces de l’ordre. Des affrontements qui ont coïncidé avec la fête nationale chinoise.
Hong Kong est secouée depuis le mois de juin par la pire crise politique depuis sa restitution à la Chine en 1997. Une crise provoquée par la tentative gouvernementale visant à faire passer une loi sur l’extradition vers la Chine.
Après des mois de contestation, le Gouvernement de Lam a cédé face à la pression populaire en renonçant à ce projet de loi.
Les manifestants ont, toutefois, poursuivi leur mouvement exigeant la réalisation d’autres revendications à l’instar des enquêtes concernant l’usage disproportionné de la force par la police et la libération inconditionnée des protestataires incarcérés. Les manifestants réclament également la tenue d’une élection directe pour le poste de chef exécutif de la ville.
"La violence détruit la ville, on ne peut tolérer une aggravation de la situation", a-t-elle affirmé.
Il s’agit d’une mesure qui date de l’époque coloniale et qui n’a pas été mise en œuvre à Hong Kong depuis 1967.
Mardi dernier un manifestant a été blessé par balle au niveau du torse lors d’affrontements avec les forces de l’ordre. Des affrontements qui ont coïncidé avec la fête nationale chinoise.
Hong Kong est secouée depuis le mois de juin par la pire crise politique depuis sa restitution à la Chine en 1997. Une crise provoquée par la tentative gouvernementale visant à faire passer une loi sur l’extradition vers la Chine.
Après des mois de contestation, le Gouvernement de Lam a cédé face à la pression populaire en renonçant à ce projet de loi.
Les manifestants ont, toutefois, poursuivi leur mouvement exigeant la réalisation d’autres revendications à l’instar des enquêtes concernant l’usage disproportionné de la force par la police et la libération inconditionnée des protestataires incarcérés. Les manifestants réclament également la tenue d’une élection directe pour le poste de chef exécutif de la ville.