Hugo Chavez
M. Chavez a tenu ces propos lors d'un discours prononcé devant plusieurs milliers de ses partisans rassemblés dans le centre de Caracas. C'était la première fois qu'il participait à un tel rassemblement public depuis qu'il a été soigné pour un cancer.
"Les Etats-Unis et leurs alliés européens redoublent leur offensive contre la Syrie, infiltrent des terroristes pour générer la violence, le sang et la mort, comme ils l'ont déjà fait en Libye au début de cette année", a lancé M. Chavez, chef de file de la gauche radicale en Amérique latine.
"A coups de bombes, ils sont parvenus non seulement à renverser le gouvernement libyen, mais aussi à détruire ce pays et à assassiner le colonel Mouammar Kadhafi (...) et à présent ils visent la Syrie", a déclaré le président vénézuélien.
M. Chavez, qui était un soutien sans faille du colonel Kadhafi, a résolument condamné depuis le début l'opération militaire occidentale en Libye. Il a qualifié d'"assassinat" la mort du colonel Kadhafi, décédé dans des circonstances troubles après avoir été capturé par des rebelles à la suite d'une frappe aérienne de l'Otan contre son convoi.
En Syrie, le président Bachar al-Assad est confronté depuis la mi-mars à un soulèvement qu'il réprime durement. Selon l'ONU, la répression a fait plus de 3.500 morts.
"Les Etats-Unis et leurs alliés européens redoublent leur offensive contre la Syrie, infiltrent des terroristes pour générer la violence, le sang et la mort, comme ils l'ont déjà fait en Libye au début de cette année", a lancé M. Chavez, chef de file de la gauche radicale en Amérique latine.
"A coups de bombes, ils sont parvenus non seulement à renverser le gouvernement libyen, mais aussi à détruire ce pays et à assassiner le colonel Mouammar Kadhafi (...) et à présent ils visent la Syrie", a déclaré le président vénézuélien.
M. Chavez, qui était un soutien sans faille du colonel Kadhafi, a résolument condamné depuis le début l'opération militaire occidentale en Libye. Il a qualifié d'"assassinat" la mort du colonel Kadhafi, décédé dans des circonstances troubles après avoir été capturé par des rebelles à la suite d'une frappe aérienne de l'Otan contre son convoi.
En Syrie, le président Bachar al-Assad est confronté depuis la mi-mars à un soulèvement qu'il réprime durement. Selon l'ONU, la répression a fait plus de 3.500 morts.