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Cécile Brossard, 40 ans, comparaissait devant la cour d'assises de Genève.
Elle a passé quatre ans en détention préventive depuis qu'elle a reconnu avoir tué Stern, 38e fortune de France, après des ébats sadomasochistes ponctués d'une querelle sur un don d'un million de dollars.
Le procureur général de Genève, Daniel Zappelli, avait réclamé onze ans de réclusion criminel.
Mercredi, à l'issue d'un procès d'une semaine, un jury composé de six hommes et six femmes l'avait reconnue coupable de meurtre, ce qui la rendait passible de vingt ans de réclusion. Les jurés n'ont pas retenu la notion de crime passionnel, qui l'exposait à une peine de dix ans.
Elle a passé quatre ans en détention préventive depuis qu'elle a reconnu avoir tué Stern, 38e fortune de France, après des ébats sadomasochistes ponctués d'une querelle sur un don d'un million de dollars.
Le procureur général de Genève, Daniel Zappelli, avait réclamé onze ans de réclusion criminel.
Mercredi, à l'issue d'un procès d'une semaine, un jury composé de six hommes et six femmes l'avait reconnue coupable de meurtre, ce qui la rendait passible de vingt ans de réclusion. Les jurés n'ont pas retenu la notion de crime passionnel, qui l'exposait à une peine de dix ans.
