La fille adoptive de l'ancien président Jacques Chirac
"Même si le débat sur l'identité nationale reste une bonne initiative, je regrette les récents dérapages qui accusent les Français d'origine musulmane d'être au centre d'une injuste polémique relative à leur pratique religieuse", écrit-elle dans un communiqué.
Elle condamne "les propos" sur les minarets prêtés à l'ex-garde des Sceaux Pascal Clément -que ce dernier a démentis- et se dit "indignée par des dégradations commises sur des sépultures musulmanes, car il ne faudrait pas que le débat sur l'identité nationale soulève la montée du racisme".
Mme Traxel apporte sa contribution au débat en estimant que "l'identité nationale, c'est respecter strictement les lois de la République, connaître ses droits mais aussi ses devoirs. C'est vivre dans un système laïque, en évitant le communautarisme et le sectarisme".
"Mais, ajoute-t-elle, il faut laisser à tous les Français d'origine arabe, asiatique, juive, africaine, polonaise, italienne, portugaise ou de tous autres pays la possibilité de garder sa culture afin qu'elle soit une véritable richesse de diversité pour la France".
"Il faut donner à chacun le droit de pratiquer la religion de son choix", poursuit la fille adoptive du couple Chirac, qui cite l'exemple de la Tunisie où "il y a bien des églises et des mosquées qui côtoient les minarets, sans que cela inquiète la population et cela dans la plus grande tolérance".
Elle condamne "les propos" sur les minarets prêtés à l'ex-garde des Sceaux Pascal Clément -que ce dernier a démentis- et se dit "indignée par des dégradations commises sur des sépultures musulmanes, car il ne faudrait pas que le débat sur l'identité nationale soulève la montée du racisme".
Mme Traxel apporte sa contribution au débat en estimant que "l'identité nationale, c'est respecter strictement les lois de la République, connaître ses droits mais aussi ses devoirs. C'est vivre dans un système laïque, en évitant le communautarisme et le sectarisme".
"Mais, ajoute-t-elle, il faut laisser à tous les Français d'origine arabe, asiatique, juive, africaine, polonaise, italienne, portugaise ou de tous autres pays la possibilité de garder sa culture afin qu'elle soit une véritable richesse de diversité pour la France".
"Il faut donner à chacun le droit de pratiquer la religion de son choix", poursuit la fille adoptive du couple Chirac, qui cite l'exemple de la Tunisie où "il y a bien des églises et des mosquées qui côtoient les minarets, sans que cela inquiète la population et cela dans la plus grande tolérance".