Accueil
Actus
Au cours des trois derniers mois tous les sondages donnaient le Likoud et son leader Byniamine Netanyahu nettement vainqueur des élections législatives en Israël .
Ce n'est qu'au cours de la dernière semaine que l'écart entre le Likoud à droite et Kadima, le parti centriste conduit par Tsipi Livni, a fondu.
Et les résultats quasi définitifs qui ont été publiés ce matin le confirment: Livni a réussi un exploit franchissant la ligne d'arrivée légèrement devant Netanyahu.
Selon ces résultats, Kadima reste la première formation politique d'Israël avec 28 sièges au Parlement , la Knesset, juste devant le Likoud avec 27 sièges.
Mais la victoire de Livni risque d'avoir un goût amer. Un rapide coup d'œil sur les résultats permet d'établir que c'est le bloc de la droite nationaliste qui obtient une majorité de 65 mandats et c'est finalement Netanyahu qui reste le mieux placé pour former un gouvernement majoritaire.
"Je serais le prochain premier ministre" a clamé Netanyahu peu avant que Livni n'appelle à la formation d'un gouvernement d'union nationale sous sa propre direction.
Face à cet imbroglio politique, les clés de la coalition sont entre les mains d'un homme, Avigdor Liberman, chef de file d'Israël Beiteinu , un parti très fortement nationaliste qui a mené une campagne électorale dure dirigée en particulier contre la population arabe israélienne.
Liberman a obtenu finalement 15 mandats, et hier soir, il n'a pas caché qu'il souhaitait la formation d'un gouvernement nationaliste.
Le grand déçu du scrutin est Ehoud Barak qui n'obtient, à la tête du parti travailliste, que 13 mandats.
Cette défaite ainsi que celle de la gauche idéologique Meretz qui ne totalise que 3 mandats s'explique par la fuite de dizaines de milliers de voix vers Kadima. Enfin le bloc des formations religieuses totalise 23 mandats qui devraient aller à la droite.
Les regards sont désormais tournés vers le président de l'état Shimon Peres qui aura la difficile mission de décider qui de Netanyahu ou de Livni sera capable de former la coalition majoritaire la plus stable.
Ce n'est qu'au cours de la dernière semaine que l'écart entre le Likoud à droite et Kadima, le parti centriste conduit par Tsipi Livni, a fondu.
Et les résultats quasi définitifs qui ont été publiés ce matin le confirment: Livni a réussi un exploit franchissant la ligne d'arrivée légèrement devant Netanyahu.
Selon ces résultats, Kadima reste la première formation politique d'Israël avec 28 sièges au Parlement , la Knesset, juste devant le Likoud avec 27 sièges.
Mais la victoire de Livni risque d'avoir un goût amer. Un rapide coup d'œil sur les résultats permet d'établir que c'est le bloc de la droite nationaliste qui obtient une majorité de 65 mandats et c'est finalement Netanyahu qui reste le mieux placé pour former un gouvernement majoritaire.
"Je serais le prochain premier ministre" a clamé Netanyahu peu avant que Livni n'appelle à la formation d'un gouvernement d'union nationale sous sa propre direction.
Face à cet imbroglio politique, les clés de la coalition sont entre les mains d'un homme, Avigdor Liberman, chef de file d'Israël Beiteinu , un parti très fortement nationaliste qui a mené une campagne électorale dure dirigée en particulier contre la population arabe israélienne.
Liberman a obtenu finalement 15 mandats, et hier soir, il n'a pas caché qu'il souhaitait la formation d'un gouvernement nationaliste.
Le grand déçu du scrutin est Ehoud Barak qui n'obtient, à la tête du parti travailliste, que 13 mandats.
Cette défaite ainsi que celle de la gauche idéologique Meretz qui ne totalise que 3 mandats s'explique par la fuite de dizaines de milliers de voix vers Kadima. Enfin le bloc des formations religieuses totalise 23 mandats qui devraient aller à la droite.
Les regards sont désormais tournés vers le président de l'état Shimon Peres qui aura la difficile mission de décider qui de Netanyahu ou de Livni sera capable de former la coalition majoritaire la plus stable.
