On ignore si les victimes ont été tuées par les assaillants ou lors de l'intervention de la police tard dans la nuit de dimanche, dans un quartier très peuplée de la capitale irakienne. Au moins un prêtre et dix policiers ont été tués, selon la police et des sources hospitalières. Une soixantaine de fidèles ont été blessés, principalement des femmes.
Le ministre adjoint à l'Intérieur, le général Hussein Ali Kamal, a donné un dernier bilan de 52 morts et 67 blessés.
Le pape Benoît XVI a dénoncé lundi une attaque "violente" et demandé un effort uni pour la paix dans la région.
Après avoir affronté les forces de sécurité près de la bourse de Bagdad, les assaillants armés de grenade et de gilets d'explosifs se sont réfugiés dans l'église Notre-Dame de la Délivrance, située à proximité, où ils ont pris en otages environ 120 personnes.
Le nombre d'assaillants restait contesté, un porte-parole de l'armée, le général Qassim al-Moussaoui, a affirmé que les forces de sécurité irakiennes avaient abattu huit militants alors que l'armée américaine parlait de cinq à sept. D'après des policiers sur place, trois assaillants ont été tués et sept autres interpellés.
Dans un message posté tard sur le net dimanche sur un site de militants islamistes, l'Etat islamiste d'Irak, lié à Al-Qaïda, semble revendiquer l'attaque: ce groupe affirme qu'"il exterminera les Chrétiens irakiens" si les femmes musulmanes en Irak ne sont pas libérées".
Le ministre adjoint à l'Intérieur, le général Hussein Ali Kamal, a donné un dernier bilan de 52 morts et 67 blessés.
Le pape Benoît XVI a dénoncé lundi une attaque "violente" et demandé un effort uni pour la paix dans la région.
Après avoir affronté les forces de sécurité près de la bourse de Bagdad, les assaillants armés de grenade et de gilets d'explosifs se sont réfugiés dans l'église Notre-Dame de la Délivrance, située à proximité, où ils ont pris en otages environ 120 personnes.
Le nombre d'assaillants restait contesté, un porte-parole de l'armée, le général Qassim al-Moussaoui, a affirmé que les forces de sécurité irakiennes avaient abattu huit militants alors que l'armée américaine parlait de cinq à sept. D'après des policiers sur place, trois assaillants ont été tués et sept autres interpellés.
Dans un message posté tard sur le net dimanche sur un site de militants islamistes, l'Etat islamiste d'Irak, lié à Al-Qaïda, semble revendiquer l'attaque: ce groupe affirme qu'"il exterminera les Chrétiens irakiens" si les femmes musulmanes en Irak ne sont pas libérées".