"Une bombe a explosé à 07H55 (04H55 GMT) devant la mosquée Al-Qods (sunnite) dans le sud de la ville de Kirkouk à la sortie des fidèles, tuant neuf personnes et en blessant 19 autres", a indiqué à l'AFP un général de la police.
Le bilan a été confirmé par le docteur Ahmad Khalaf à l'Hôpital général de Kirkouk qui a précisé qu'au moins cinq des blessés étaient dans un état critique.
La province de Kirkouk est une mosaïque ethnique et confessionnelle où cohabitent Kurdes, Arabes et Turkmènes, sunnites et chiites.
La mosquée visée mardi est située dans le quartier des Officiers, un quartier mixte de la ville où cohabitent Arabes et Turkmènes.
Ce dernier attentat porte à plus de 300 le nombre de morts depuis début octobre, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources policières et médicales. Le chiffre des décès causés par les violences a dépassé les 5.000 depuis le début de l'année.
Les violences en Irak ont enregistré une hausse très importante depuis début 2013, au point de retrouver leur niveau de 2008, avec des bilans mensuels oscillant désormais entre 800 et 1.000 morts.
Pour le mois de septembre, l'ONU avait fait état d'un bilan de près d'un millier de morts et plus de 2.100 blessés.
Le bilan a été confirmé par le docteur Ahmad Khalaf à l'Hôpital général de Kirkouk qui a précisé qu'au moins cinq des blessés étaient dans un état critique.
La province de Kirkouk est une mosaïque ethnique et confessionnelle où cohabitent Kurdes, Arabes et Turkmènes, sunnites et chiites.
La mosquée visée mardi est située dans le quartier des Officiers, un quartier mixte de la ville où cohabitent Arabes et Turkmènes.
Ce dernier attentat porte à plus de 300 le nombre de morts depuis début octobre, selon un bilan établi par l'AFP à partir de sources policières et médicales. Le chiffre des décès causés par les violences a dépassé les 5.000 depuis le début de l'année.
Les violences en Irak ont enregistré une hausse très importante depuis début 2013, au point de retrouver leur niveau de 2008, avec des bilans mensuels oscillant désormais entre 800 et 1.000 morts.
Pour le mois de septembre, l'ONU avait fait état d'un bilan de près d'un millier de morts et plus de 2.100 blessés.