"Ces explosions ont fait 26 morts et plus de 300 blessés. Le bilan pourrait augmenter", a indiqué Ilna, citant Hossein Ali Shahriari, un député de la ville de Zahedan, dans laquelle a eu lieu le double attentat suicide.
Plus tôt, la télévision d'Etat citant Ali Mohammad Azad, le gouverneur général de la province du Sistan-Balouchistan, dont Zahedan est le chef-lieu, avait fait état de 22 morts et 160 blessés. Lui aussi avait dit que le bilan pourrait être plus lourd.
Le double attentat suicide a eu lieu jeudi soir tout près de la mosquée Jamia à Zahedan alors que de nombreux fidèles s'étaient rassemblés pour célébrer l'imam Hussein, petit-fils du prophète Mahomet.
Ali Mohammad Azad a confirmé que deux kamikazes étaient à l'origine des explosions, survenues à quelques minutes d'intervalle, vers 21H20 (16H50 GMT).
Le Sistan-Balouchistan, région frontalière du Pakistan et de l'Afghanistan, est le théâtre depuis dix ans d'une rébellion meurtrière du groupe sunnite extrémiste Joundallah (soldats de Dieu).
L'attentat le plus récent revendiqué par ce groupe, en octobre 2009, avait fait 42 morts, dont plusieurs officiers des Gardiens de la Révolution (Pasdaran) à Pishin, localité proche de la frontière pakistanaise.
Plus tôt, la télévision d'Etat citant Ali Mohammad Azad, le gouverneur général de la province du Sistan-Balouchistan, dont Zahedan est le chef-lieu, avait fait état de 22 morts et 160 blessés. Lui aussi avait dit que le bilan pourrait être plus lourd.
Le double attentat suicide a eu lieu jeudi soir tout près de la mosquée Jamia à Zahedan alors que de nombreux fidèles s'étaient rassemblés pour célébrer l'imam Hussein, petit-fils du prophète Mahomet.
Ali Mohammad Azad a confirmé que deux kamikazes étaient à l'origine des explosions, survenues à quelques minutes d'intervalle, vers 21H20 (16H50 GMT).
Le Sistan-Balouchistan, région frontalière du Pakistan et de l'Afghanistan, est le théâtre depuis dix ans d'une rébellion meurtrière du groupe sunnite extrémiste Joundallah (soldats de Dieu).
L'attentat le plus récent revendiqué par ce groupe, en octobre 2009, avait fait 42 morts, dont plusieurs officiers des Gardiens de la Révolution (Pasdaran) à Pishin, localité proche de la frontière pakistanaise.