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"Nos forces sont sur notre propre sol, car ce puits appartient à l'Iran selon les frontières internationales reconnues", a déclaré un communiqué des forces armées diffusé par la chaîne de télévision d'Etat en arabe Al Alam.
L'Irak a protesté officiellement vendredi contre l'occupation par onze soldats iraniens d'un puits pétrolier dans le sud du pays, dans un secteur disputé de la frontière irako-iranienne.
"L'Irak demande à Téhéran de retirer le groupe armé qui a occupé le puits numéro 4, qui a été foré en 1979, et d'ôter immédiatement le drapeau que ces hommes ont hissé car (c'est) une violation de sa souveraineté", a déclaré vendredi le porte-parole du gouvernement irakien Ali al-Dabbagh.
Plusieurs responsables iraniens ont récusé pour leur part samedi cette accusation.
"Nous rejetons fermement l'affirmation selon laquelle l'Iran aurait occupé un puits de pétrole irakien", a déclaré le président de la commmission du Parlement pour la sécurité nationale et les affaires étrangères, M. Aleddin Borujerdi cité par l'agence officielle IRNA.
"Cette affaire est en cours d'examen par l'intermédiaire des canaux diplomatiques, et s'il y a un problème il sera rapidement résolu", a ajouté le parlementaire iranien.
M. Borujerdi a affirmé que les relations entre Téhéran et Bagdad ne devait pas souffrir de ce type de "publicité négative", et il a mis en cause "la propagande des médias étrangers" dans cette affaire.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Ramin Mehmanparast a lui aussi affirmé vendredi à l'agence Irna que la publicité apportée à cet incident, dont il n'a pas démenti l'existence, était le fait "d'une source extérieure visant à porter atteinte aux bonnes relations entre les deux pays".
L'Irak a protesté officiellement vendredi contre l'occupation par onze soldats iraniens d'un puits pétrolier dans le sud du pays, dans un secteur disputé de la frontière irako-iranienne.
"L'Irak demande à Téhéran de retirer le groupe armé qui a occupé le puits numéro 4, qui a été foré en 1979, et d'ôter immédiatement le drapeau que ces hommes ont hissé car (c'est) une violation de sa souveraineté", a déclaré vendredi le porte-parole du gouvernement irakien Ali al-Dabbagh.
Plusieurs responsables iraniens ont récusé pour leur part samedi cette accusation.
"Nous rejetons fermement l'affirmation selon laquelle l'Iran aurait occupé un puits de pétrole irakien", a déclaré le président de la commmission du Parlement pour la sécurité nationale et les affaires étrangères, M. Aleddin Borujerdi cité par l'agence officielle IRNA.
"Cette affaire est en cours d'examen par l'intermédiaire des canaux diplomatiques, et s'il y a un problème il sera rapidement résolu", a ajouté le parlementaire iranien.
M. Borujerdi a affirmé que les relations entre Téhéran et Bagdad ne devait pas souffrir de ce type de "publicité négative", et il a mis en cause "la propagande des médias étrangers" dans cette affaire.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Ramin Mehmanparast a lui aussi affirmé vendredi à l'agence Irna que la publicité apportée à cet incident, dont il n'a pas démenti l'existence, était le fait "d'une source extérieure visant à porter atteinte aux bonnes relations entre les deux pays".
