"Nous en discutons actuellement avec les Etats-Unis", a assuré M. Netanyahu dans cet entretien diffusé tard dans la soirée de dimanche par la chaîne canadienne, et dont l'AFP s'est procurée le texte.
Interrogé sur les actions que pourraient prendre Washington afin de déterminer la limite à ne pas franchir par l'Iran, M. Netanyahu est cependant resté évasif, se contentant de réitérer l'importance de la force de dissuasion de cette "ligne rouge".
"Je pense que la question n'est pas seulement celle des sanctions ou des mesures qui pourraient être renforcées pour augmenter la pression sur l'Iran. C'est aussi (la question) d'une délimitation claire de la ligne que l'Iran ne peut pas franchir dans la poursuite du développement de ses capacités nucléaires. Si l'Iran voit cela, il y a une chance, je ne dis pas que c'est garanti, mais il y a une chance, qu'ils (les Iraniens) s'arrêtent avant de franchir cette ligne", a-t-il répondu au journaliste.
Le Premier ministre israélien a récemment multiplié ses appels à la communauté internationale, en particulier aux Etats-Unis, à fixer une "ligne rouge" au régime de Téhéran, une preuve de fermeté, seule capable, selon lui, d'éloigner la menace d'une attaque préventive contre les installations nucléaires iraniennes agitée par Israël.
Washington s'est pour le moment refusé à imposer une telle limite à Téhéran et donne la priorité à la diplomatie et aux sanctions économiques.
"Je pense que ce qu'il est important de comprendre c'est que l'Iran ne s'arrêtera pas, à moins de voir une détermination ferme des pays démocratiques et une ligne rouge claire. Le plus tôt nous établirons cette ligne rouge, plus grandes seront les chances de ne pas avoir à recourir à d'autres types d'action", a réitéré M. Netanyahu dans son interview à CBC, faisant allusion à la possibilité d'une opération militaire.
Les médias israéliens ont fait état d'une tension croissante entre le président Obama et M. Netanyahu, qui a brandi la menace d'une intervention militaire israélienne contre les installations nucléaires iraniennes sans l'accord préalable de Washington.
Selon les commentateurs, le Premier ministre israélien voudrait pousser le président américain Barack Obama à fixer une limite au programme nucléaire iranien sous peine de déclencher une attaque américaine.
De son côté, le président Shimon Pérès a remercié lundi "les Etats-Unis, le Canada et l'Union européenne pour leurs dernières mesures visant à augmenter la pression sur l'Iran et à maintenir une option militaire crédible", lors de ses voeux du Nouvel An juif au corps diplomatique, selon un communiqué de ses services.
Israël considère l'Iran comme son principal ennemi et l'accuse de vouloir se doter de l'arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément catégoriquement.
Interrogé sur les actions que pourraient prendre Washington afin de déterminer la limite à ne pas franchir par l'Iran, M. Netanyahu est cependant resté évasif, se contentant de réitérer l'importance de la force de dissuasion de cette "ligne rouge".
"Je pense que la question n'est pas seulement celle des sanctions ou des mesures qui pourraient être renforcées pour augmenter la pression sur l'Iran. C'est aussi (la question) d'une délimitation claire de la ligne que l'Iran ne peut pas franchir dans la poursuite du développement de ses capacités nucléaires. Si l'Iran voit cela, il y a une chance, je ne dis pas que c'est garanti, mais il y a une chance, qu'ils (les Iraniens) s'arrêtent avant de franchir cette ligne", a-t-il répondu au journaliste.
Le Premier ministre israélien a récemment multiplié ses appels à la communauté internationale, en particulier aux Etats-Unis, à fixer une "ligne rouge" au régime de Téhéran, une preuve de fermeté, seule capable, selon lui, d'éloigner la menace d'une attaque préventive contre les installations nucléaires iraniennes agitée par Israël.
Washington s'est pour le moment refusé à imposer une telle limite à Téhéran et donne la priorité à la diplomatie et aux sanctions économiques.
"Je pense que ce qu'il est important de comprendre c'est que l'Iran ne s'arrêtera pas, à moins de voir une détermination ferme des pays démocratiques et une ligne rouge claire. Le plus tôt nous établirons cette ligne rouge, plus grandes seront les chances de ne pas avoir à recourir à d'autres types d'action", a réitéré M. Netanyahu dans son interview à CBC, faisant allusion à la possibilité d'une opération militaire.
Les médias israéliens ont fait état d'une tension croissante entre le président Obama et M. Netanyahu, qui a brandi la menace d'une intervention militaire israélienne contre les installations nucléaires iraniennes sans l'accord préalable de Washington.
Selon les commentateurs, le Premier ministre israélien voudrait pousser le président américain Barack Obama à fixer une limite au programme nucléaire iranien sous peine de déclencher une attaque américaine.
De son côté, le président Shimon Pérès a remercié lundi "les Etats-Unis, le Canada et l'Union européenne pour leurs dernières mesures visant à augmenter la pression sur l'Iran et à maintenir une option militaire crédible", lors de ses voeux du Nouvel An juif au corps diplomatique, selon un communiqué de ses services.
Israël considère l'Iran comme son principal ennemi et l'accuse de vouloir se doter de l'arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément catégoriquement.