Mohammad Ghoochani a été libéré jeudi soir contre une caution d'un milliard de rials (100.000 dollars), a indiqué Ilna sans fournir plus de détails.
Aucune précision n'a été donnée sur les charges qui pèsent sur lui.
Plusieurs personnalités du camp réformateur, dont Mohammad Ghoochani, avaient comparu le 25 août devant le Tribunal révolutionnaire de Téhéran, accusées d'être les "cerveaux" des manifestations contre la réélection controversée du président Mahmoud Ahmadinejad le 12 juin.
Citant l'épouse de M. Ghoochani, un de ses collègues avait indiqué à l'AFP le 20 juin qu'il avait été arrêté le jour-même à son domicile par des inconnus.
La victoire de M. Ahmadinejad avait été contestée par son principal rival Mir Hossein Moussavi, qui a dénoncé avec les deux autres candidats battus, dont M. Karoubi, de graves irrégularités dans le scrutin.
Etemad Melli avait été suspendu mi-août après que M. Karoubi eut formulé, dans les colonnes du journal, de nouvelles accusations contre le pouvoir, évoquant la torture et la mort de manifestants incarcérés.
Lors des troubles qui ont suivi la présidentielle, plusieurs dizaines de personnes ont été tuées et 4.000 personnes arrêtées.
La plupart ont été libérées mais 140 manifestants et activistes sont actuellement jugés.
Aucune précision n'a été donnée sur les charges qui pèsent sur lui.
Plusieurs personnalités du camp réformateur, dont Mohammad Ghoochani, avaient comparu le 25 août devant le Tribunal révolutionnaire de Téhéran, accusées d'être les "cerveaux" des manifestations contre la réélection controversée du président Mahmoud Ahmadinejad le 12 juin.
Citant l'épouse de M. Ghoochani, un de ses collègues avait indiqué à l'AFP le 20 juin qu'il avait été arrêté le jour-même à son domicile par des inconnus.
La victoire de M. Ahmadinejad avait été contestée par son principal rival Mir Hossein Moussavi, qui a dénoncé avec les deux autres candidats battus, dont M. Karoubi, de graves irrégularités dans le scrutin.
Etemad Melli avait été suspendu mi-août après que M. Karoubi eut formulé, dans les colonnes du journal, de nouvelles accusations contre le pouvoir, évoquant la torture et la mort de manifestants incarcérés.
Lors des troubles qui ont suivi la présidentielle, plusieurs dizaines de personnes ont été tuées et 4.000 personnes arrêtées.
La plupart ont été libérées mais 140 manifestants et activistes sont actuellement jugés.