Les deux membres de Joundallah, Ayoub Righi et Masoud Gomshad Zehi, ont été "reconnus coupables d'appartenance et d'activité au sein du groupe terroriste dirigé par Abdolmalek Righi", selon Irna.
Les autorités iraniennes accusent Joundallah d'avoir mené ces dernières années de nombreux attentats et actions armées, notamment l'attentat suicide du 28 mai qui a fait 25 morts dans une mosquée chiite de Zahedan, chef lieu du Sistan-Balouchistan.
Le 14 juillet, 13 membres du groupe Joundallah avaient été exécutés au sein de la prison de Zahedan.
La population iranienne, forte de 70 millions d'habitants, est composée à plus de 90% de chiites, mais la province du Sistan-Balouchistan, située à la frontière avec le Pakistan et l'Afghanistan, abrite une forte minorité sunnite.
Elle est considérée comme la province la moins sûre d'Iran en raison de la présence des rebelles mais aussi de trafiquants de drogue.
Ces pendaisons portent à au moins 187 le nombre de personnes exécutées en Iran depuis le début de l'année, selon un décompte de l'AFP effectué à partir d'informations diffusées par la presse. En 2008, 246 personnes y ont été exécutées, selon les mêmes sources.
Amnesty International affirme de son côté que l'Iran a exécuté 346 personnes l'année dernière.
Le meurtre, le viol, le vol à main armée, le trafic de drogue et l'adultère sont passibles de la peine de mort en Iran.
Les autorités iraniennes accusent Joundallah d'avoir mené ces dernières années de nombreux attentats et actions armées, notamment l'attentat suicide du 28 mai qui a fait 25 morts dans une mosquée chiite de Zahedan, chef lieu du Sistan-Balouchistan.
Le 14 juillet, 13 membres du groupe Joundallah avaient été exécutés au sein de la prison de Zahedan.
La population iranienne, forte de 70 millions d'habitants, est composée à plus de 90% de chiites, mais la province du Sistan-Balouchistan, située à la frontière avec le Pakistan et l'Afghanistan, abrite une forte minorité sunnite.
Elle est considérée comme la province la moins sûre d'Iran en raison de la présence des rebelles mais aussi de trafiquants de drogue.
Ces pendaisons portent à au moins 187 le nombre de personnes exécutées en Iran depuis le début de l'année, selon un décompte de l'AFP effectué à partir d'informations diffusées par la presse. En 2008, 246 personnes y ont été exécutées, selon les mêmes sources.
Amnesty International affirme de son côté que l'Iran a exécuté 346 personnes l'année dernière.
Le meurtre, le viol, le vol à main armée, le trafic de drogue et l'adultère sont passibles de la peine de mort en Iran.