Benjamin Netanyahu, Premier ministre et chef du Likoud (droite), Yaïr Lapid, dirigeant du parti centriste Yesh Atid, deuxième au scrutin de janvier (19 élus), et Naftali Bennett, leader du Foyer juif, parti nationaliste religieux qui a lui aussi réalisé une percée (12 députés), poursuivaient en début d'après-midi les négociations qui s'étaient interrompues, sans accord, dans la nuit de dimanche à lundi.
L'ancien ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman, dont le parti nationaliste Israël Beiteinou a fait liste commune avec le Likoud de M. Netanyahu, participe également aux discussions.
"Il y a toujours des désaccords mais je pense que nous pourrons rapidement les surmonter", a assuré le chef de l'équipe de négociateurs du Likoud-Israël Beiteinou, David Shimron, cité par les médias.
Les dissensions portent essentiellement sur un projet de loi controversé, défendu par Yesh Atid, un parti laïc, qui obligerait les jeunes religieux ultra-orthodoxes à faire un service militaire ou civil, dont ils sont pour l'instant exemptés dans leur grande majorité.
Selon un député de Yesh Atid, Meïr Cohen, interviewé lundi par la radio militaire, Yaïr Lapid souhaite aussi que le nombre de portefeuilles dans le nouveau gouvernement soit limité à "22 ou 23", contre une trentaine actuellement.
Enfin, les discussions portent sur la répartition des ministères. Selon les médias, Yaïr Lapid insiste pour obtenir le ministère de l'Education, que M. Netanyahu a apparemment réservé à l'actuel titulaire, Gideon Saar, considéré comme proche du Premier ministre.
M. Netanyahu a entamé dimanche l'ultime semaine pour former son nouveau gouvernement, qui devrait être présenté quelques jours avant la visite historique du président américain Barack Obama la semaine prochaine.
Il obtenu un deuxième et dernier délai du président Shimon Peres afin de constituer son cabinet avant le 16 mars, faute de quoi le président pourrait choisir un autre candidat pour tenter de constituer une majorité.
Selon les médias, la composition du gouvernement pourrait être prête mardi, mais le protocole veut que le Premier ministre en informe d'abord M. Peres, qui ne doit rentrer que mercredi d'une visite en Europe. Le cabinet devra ensuite obtenir l'investiture du Parlement.
L'ancien ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman, dont le parti nationaliste Israël Beiteinou a fait liste commune avec le Likoud de M. Netanyahu, participe également aux discussions.
"Il y a toujours des désaccords mais je pense que nous pourrons rapidement les surmonter", a assuré le chef de l'équipe de négociateurs du Likoud-Israël Beiteinou, David Shimron, cité par les médias.
Les dissensions portent essentiellement sur un projet de loi controversé, défendu par Yesh Atid, un parti laïc, qui obligerait les jeunes religieux ultra-orthodoxes à faire un service militaire ou civil, dont ils sont pour l'instant exemptés dans leur grande majorité.
Selon un député de Yesh Atid, Meïr Cohen, interviewé lundi par la radio militaire, Yaïr Lapid souhaite aussi que le nombre de portefeuilles dans le nouveau gouvernement soit limité à "22 ou 23", contre une trentaine actuellement.
Enfin, les discussions portent sur la répartition des ministères. Selon les médias, Yaïr Lapid insiste pour obtenir le ministère de l'Education, que M. Netanyahu a apparemment réservé à l'actuel titulaire, Gideon Saar, considéré comme proche du Premier ministre.
M. Netanyahu a entamé dimanche l'ultime semaine pour former son nouveau gouvernement, qui devrait être présenté quelques jours avant la visite historique du président américain Barack Obama la semaine prochaine.
Il obtenu un deuxième et dernier délai du président Shimon Peres afin de constituer son cabinet avant le 16 mars, faute de quoi le président pourrait choisir un autre candidat pour tenter de constituer une majorité.
Selon les médias, la composition du gouvernement pourrait être prête mardi, mais le protocole veut que le Premier ministre en informe d'abord M. Peres, qui ne doit rentrer que mercredi d'une visite en Europe. Le cabinet devra ensuite obtenir l'investiture du Parlement.