
"Plusieurs milliers de policiers et garde-frontières ont été mobilisés pour cette journée et notre dispositif a été plus particulièrement renforcé dans la Vieille ville de Jérusalem", a indiqué à l'AFP le porte-parole de la police Micky Rosenfeld.
Durant la journée, des milliers de personnes, en majorité des juifs nationalistes religieux, doivent défiler à Jérusalem en direction du Mur Occidental (le mur de des Lamentations), situé dans la Vieille ville et l'un des lieux les plus sacrés du judaïsme.
Israël considère l'ensemble de Jérusalem comme "la capitale indivisible et éternelle" de l'Etat, y compris le secteur oriental à majorité arabe, depuis le vote d'une "loi fondamentale" en 30 juillet 1980.
Les principales personnalités de l'Etat, dont le Premier ministre Benjamin Netanyahu, ont participé aux cérémonies officielles et festivités qui ont démarré dès mardi soir dans la Ville sainte.
En fin d'après-midi, mercredi, le chef de l'Etat Shimon Peres et M. Netanyahu doivent présider en présence du chef d'état-major, le général Gaby Ashkenazi, une cérémonie à la Colline des munitions, un des hauts lieux des combats de la guerre de juin 1967.
La question de Jérusalem est l'une des principales pierres d'achoppement des pourparlers de paix entre Israël et les Palestiniens.
Les Palestiniens veulent établir à Jérusalem-Est la capitale de l'Etat auquel ils aspirent et réclament le gel de la colonisation juive dans ce secteur.
"Il n'y a pas d'accord sur un gel de la construction dans la partie orientale de Jérusalem, et la vie s'y poursuit normalement comme partout ailleurs dans les villes d'Israël", a répété mercredi le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman, en visite à Tokyo, selon un communiqué de son bureau.
Interrogé de son cô té à la radio militaire, le maire de Jérusalem, Nir Barkat, a déclaré que "les limites municipales de Jérusalem ne sont pas négociables, et la construction doit continuer dans l'ensemble de la ville sous souveraineté israélienne".
L'annexion de Jérusalem-Est, suivie de constructions massives dans une douzaine de nouveaux quartiers de colonisation, n'a jamais été reconnue par la communauté internationale.
Jérusalem compte 774.000 habitants, dont 488.000 juifs (63%), 261.000 musulmans (34%) et 15.000 chrétiens (2%), selon des chiffres du bureau central israélien des statistiques.
Durant la journée, des milliers de personnes, en majorité des juifs nationalistes religieux, doivent défiler à Jérusalem en direction du Mur Occidental (le mur de des Lamentations), situé dans la Vieille ville et l'un des lieux les plus sacrés du judaïsme.
Israël considère l'ensemble de Jérusalem comme "la capitale indivisible et éternelle" de l'Etat, y compris le secteur oriental à majorité arabe, depuis le vote d'une "loi fondamentale" en 30 juillet 1980.
Les principales personnalités de l'Etat, dont le Premier ministre Benjamin Netanyahu, ont participé aux cérémonies officielles et festivités qui ont démarré dès mardi soir dans la Ville sainte.
En fin d'après-midi, mercredi, le chef de l'Etat Shimon Peres et M. Netanyahu doivent présider en présence du chef d'état-major, le général Gaby Ashkenazi, une cérémonie à la Colline des munitions, un des hauts lieux des combats de la guerre de juin 1967.
La question de Jérusalem est l'une des principales pierres d'achoppement des pourparlers de paix entre Israël et les Palestiniens.
Les Palestiniens veulent établir à Jérusalem-Est la capitale de l'Etat auquel ils aspirent et réclament le gel de la colonisation juive dans ce secteur.
"Il n'y a pas d'accord sur un gel de la construction dans la partie orientale de Jérusalem, et la vie s'y poursuit normalement comme partout ailleurs dans les villes d'Israël", a répété mercredi le chef de la diplomatie israélienne Avigdor Lieberman, en visite à Tokyo, selon un communiqué de son bureau.
Interrogé de son cô té à la radio militaire, le maire de Jérusalem, Nir Barkat, a déclaré que "les limites municipales de Jérusalem ne sont pas négociables, et la construction doit continuer dans l'ensemble de la ville sous souveraineté israélienne".
L'annexion de Jérusalem-Est, suivie de constructions massives dans une douzaine de nouveaux quartiers de colonisation, n'a jamais été reconnue par la communauté internationale.
Jérusalem compte 774.000 habitants, dont 488.000 juifs (63%), 261.000 musulmans (34%) et 15.000 chrétiens (2%), selon des chiffres du bureau central israélien des statistiques.