Le cabinet a été convoqué "d'urgence" à trois heures du matin (00H00 GMT) à Jérusalem par le Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Les responsables de l'armée ont présenté différentes options d'action dans la bande de Gaza pour mettre fin aux tirs de roquettes vers le sud d'Israël, a ajouté la radio.
A l'issue d'une heure de discussions, le cabinet a décidé de ne pas lancer d'offensive terrestre à Gaza, contrô lée par le mouvement islamiste palestinien Hamas, "de crainte de déclencher des manifestations de masse en Egypte susceptibles de déstabiliser le régime en place au Caire et de porter atteinte aux intérêts d'Israël à l'étranger à l'approche de la demande palestinienne d'adhésion d'un Etat palestinien à l'ONU en septembre", selon la radio.
Le cabinet de sécurité a été convoqué quelques heures après que les principaux mouvements palestiniens à Gaza sont parvenus, selon le Hamas, à "un accord informel pour instaurer une trêve à condition qu'Israël cesse ses attaques".
Selon un dirigeant du Hamas, la trêve devrait être annoncée officiellement lundi. Mais d'ores et déjà, la police (du Hamas) a "reçu dimanche soir pour consigne de stopper les tirs" contre Israël, a-t-il souligné.
Cette annonce est survenue à la suite de contacts intensifs, conduits notamment par l'intermédiaire de l'Egypte en vue de parvenir à une accalmie.
Sur le terrain, sept roquettes ont toutefois été tirées de la bande de Gaza depuis l'annonce de dimanche soir, sans faire de victime, a déclaré à l'AFP une porte-parole de la police, Louba Samri.
Un des tirs a provoqué des dégâts dans un bâtiment vide.
L'armée israélienne n'a mené aucun nouveau raid dans la nuit de dimanche à lundi, a précisé un porte-parole militaire.
Un total de 15 Palestiniens ont été tués et une cinquantaine blessés dans des raids aériens israéliens, selon des sources médicales, depuis une triple attaque ayant fait huit morts jeudi en Israël, près de la frontière égyptienne. L'attaque n'a pas été revendiquée mais l'Etat hébreu l'a attribuée à un groupe palestinien de Gaza qui a démenti toute implication.
La flambée de violences entre la bande de Gaza et Israël s'était intensifiée samedi soir, avec des salves de roquettes qui ont frappé plusieurs villes du sud d'Israël, faisant un mort et 18 blessés à Beersheva.
Plus de 100 projectiles se sont abattus sur le territoire israélien depuis jeudi, mais les tirs ont baissé d'intensité depuis dimanche après-midi.
Les responsables de l'armée ont présenté différentes options d'action dans la bande de Gaza pour mettre fin aux tirs de roquettes vers le sud d'Israël, a ajouté la radio.
A l'issue d'une heure de discussions, le cabinet a décidé de ne pas lancer d'offensive terrestre à Gaza, contrô lée par le mouvement islamiste palestinien Hamas, "de crainte de déclencher des manifestations de masse en Egypte susceptibles de déstabiliser le régime en place au Caire et de porter atteinte aux intérêts d'Israël à l'étranger à l'approche de la demande palestinienne d'adhésion d'un Etat palestinien à l'ONU en septembre", selon la radio.
Le cabinet de sécurité a été convoqué quelques heures après que les principaux mouvements palestiniens à Gaza sont parvenus, selon le Hamas, à "un accord informel pour instaurer une trêve à condition qu'Israël cesse ses attaques".
Selon un dirigeant du Hamas, la trêve devrait être annoncée officiellement lundi. Mais d'ores et déjà, la police (du Hamas) a "reçu dimanche soir pour consigne de stopper les tirs" contre Israël, a-t-il souligné.
Cette annonce est survenue à la suite de contacts intensifs, conduits notamment par l'intermédiaire de l'Egypte en vue de parvenir à une accalmie.
Sur le terrain, sept roquettes ont toutefois été tirées de la bande de Gaza depuis l'annonce de dimanche soir, sans faire de victime, a déclaré à l'AFP une porte-parole de la police, Louba Samri.
Un des tirs a provoqué des dégâts dans un bâtiment vide.
L'armée israélienne n'a mené aucun nouveau raid dans la nuit de dimanche à lundi, a précisé un porte-parole militaire.
Un total de 15 Palestiniens ont été tués et une cinquantaine blessés dans des raids aériens israéliens, selon des sources médicales, depuis une triple attaque ayant fait huit morts jeudi en Israël, près de la frontière égyptienne. L'attaque n'a pas été revendiquée mais l'Etat hébreu l'a attribuée à un groupe palestinien de Gaza qui a démenti toute implication.
La flambée de violences entre la bande de Gaza et Israël s'était intensifiée samedi soir, avec des salves de roquettes qui ont frappé plusieurs villes du sud d'Israël, faisant un mort et 18 blessés à Beersheva.
Plus de 100 projectiles se sont abattus sur le territoire israélien depuis jeudi, mais les tirs ont baissé d'intensité depuis dimanche après-midi.