"Conformément à une décision du ministre de la Défense, Ehud Barak, nous avons levé dans la nuit le bouclage qui était en vigueur (depuis le 13 mars) en Judée-Samarie", nom biblique de la Cisjordanie, a indiqué à l'AFP un porte-parole de l'armée israélienne.
Pour la première fois en un an, cette mesure avait été ordonnée pour des "motifs sécuritaires", et non à l'occasion d'une fête juive.
"Quelque 3.000 pliciers sont pour leur part maintenus en état d'alerte à Jérusalem, plus particulièrement dans le secteur oriental" annexé de la ville, a de son côté indiqué le porte-parole de la police, Micky Rosenfeld.
L'accès à l'esplanade des Mosquées de Jérusalem, 3ème lieu saint de l'islam, demeure par ailleurs interdit aux fidèles musulmans âgés de moins de 50 ans ainsi qu'à tous les visiteurs non musulmans, a-t-il ajouté.
La police redoute de nouveaux heurts après ceux de la veille qui ont opposé Palestiniens et forces de sécurité israéliennes à Jérusalem-est, les plus importants depuis plusieurs années, survenus dans un climat de tensions politico-religieuses et de crise diplomatique.
Pour la première fois en un an, cette mesure avait été ordonnée pour des "motifs sécuritaires", et non à l'occasion d'une fête juive.
"Quelque 3.000 pliciers sont pour leur part maintenus en état d'alerte à Jérusalem, plus particulièrement dans le secteur oriental" annexé de la ville, a de son côté indiqué le porte-parole de la police, Micky Rosenfeld.
L'accès à l'esplanade des Mosquées de Jérusalem, 3ème lieu saint de l'islam, demeure par ailleurs interdit aux fidèles musulmans âgés de moins de 50 ans ainsi qu'à tous les visiteurs non musulmans, a-t-il ajouté.
La police redoute de nouveaux heurts après ceux de la veille qui ont opposé Palestiniens et forces de sécurité israéliennes à Jérusalem-est, les plus importants depuis plusieurs années, survenus dans un climat de tensions politico-religieuses et de crise diplomatique.