"La résolution votée par le Conseil de sécurité grâce aux efforts déterminés du président Barack Obama constitue une mesure positive", souligne le communiqué.
"Nous espérons que cette mesure positive sera suivie par une action déterminée de la part de pays visant notamment le secteur énergétique de l'Iran", a également souligné le communiqué.
M. Netanyahu a pressé à plusieurs reprises le président Obama et la communauté internationale d'imposer des sanctions visant les importations de pétrole de l'Iran pour forcer la République islamique à abandonner son programme nucléaire.
"Si vous empêchez l'Iran (...) d'importer du pétrole, vous lui retirez ses capacités de raffinage et le régime s'écroule. A mon sens, ce serait des sanctions paralysantes", avait estimé en avril M. Netanyahu.
Le vice Premier ministre Sylvan Shalom avait auparavant estimé lundi soir mercredi soir que le vote à l'ONU "constitue un pas important dans la bonne direction" tout en soulignant que "ces nouvelles sanctions ne suffisent pas, il faut envisager rapidement d'autres mesures contre l'Iran si ce pays ne renonce pas à ses projets nucléaires".
En dépit de ses dénégations répétées, l'Iran, dont le régime aspire à rayer Israël de la carte, est soupçonné par les pays occidentaux de chercher à se doter de l'arme atomique.
Le 26 mai, M. Netanyahu, avait qualifié d'"imposture" le récent accord nucléaire signé par l'Iran, la Turquie et le Brésil.
"L'objectif de cette imposture est d'éviter pour l'Iran des sanctions internationales" avait souligné M. Netanyahu.
L'accord Brésil-Turquie-Iran prévoyait l'échange sur le territoire turc de 1.200 kg d'uranium enrichi iranien à 3,5% contre de l'uranium enrichi à 20% pour tenter de dénouer la crise née de la politique d'enrichissement d'uranium de Téhéran.
"Nous espérons que cette mesure positive sera suivie par une action déterminée de la part de pays visant notamment le secteur énergétique de l'Iran", a également souligné le communiqué.
M. Netanyahu a pressé à plusieurs reprises le président Obama et la communauté internationale d'imposer des sanctions visant les importations de pétrole de l'Iran pour forcer la République islamique à abandonner son programme nucléaire.
"Si vous empêchez l'Iran (...) d'importer du pétrole, vous lui retirez ses capacités de raffinage et le régime s'écroule. A mon sens, ce serait des sanctions paralysantes", avait estimé en avril M. Netanyahu.
Le vice Premier ministre Sylvan Shalom avait auparavant estimé lundi soir mercredi soir que le vote à l'ONU "constitue un pas important dans la bonne direction" tout en soulignant que "ces nouvelles sanctions ne suffisent pas, il faut envisager rapidement d'autres mesures contre l'Iran si ce pays ne renonce pas à ses projets nucléaires".
En dépit de ses dénégations répétées, l'Iran, dont le régime aspire à rayer Israël de la carte, est soupçonné par les pays occidentaux de chercher à se doter de l'arme atomique.
Le 26 mai, M. Netanyahu, avait qualifié d'"imposture" le récent accord nucléaire signé par l'Iran, la Turquie et le Brésil.
"L'objectif de cette imposture est d'éviter pour l'Iran des sanctions internationales" avait souligné M. Netanyahu.
L'accord Brésil-Turquie-Iran prévoyait l'échange sur le territoire turc de 1.200 kg d'uranium enrichi iranien à 3,5% contre de l'uranium enrichi à 20% pour tenter de dénouer la crise née de la politique d'enrichissement d'uranium de Téhéran.