
Après avoir repéré ces annonces en 2009, les carabiniers ont rapidement identifié un père et son fils dans un village de Calabre qui pillaient des sites archéologiques à la recherche d'objets antiques à revendre illégalement.
L'enquête, qui duré près de deux ans afin de mettre au jour toutes les ramifications de ce trafic, a permis de découvrir un vaste commerce illégal en ligne à travers tout le pays impliquant pas moins de 70 personnes, qui feront l'objet de poursuites judicaires, notamment pour recel.
Un véritable trésor comprenant au total 16.344 objets de grande valeur a pu être récupéré et mis à la disposition des départements d'archéologie concernés.
Parmi les objets découverts figurent notamment 15.000 pièces d'argent et de bronze des époques grecque, romaine et byzantine, ainsi que des amphores grecques en très bon état représentant des scènes érotiques.
Des échantillons de terre retrouvée sur les objets ont été comparés avec les résidus de terre restés sur les dix détecteurs de métaux utilisés par les pilleurs. Ces analyses ont confirmé que la majeure partie des objets retrouvés provenait de Calabre.
Les carabiniers disposent d'un département spécialisé dans la défense du patrimoine culturel, avec 13 antennes réparties dans les différentes régions d'Italie.
L'enquête, qui duré près de deux ans afin de mettre au jour toutes les ramifications de ce trafic, a permis de découvrir un vaste commerce illégal en ligne à travers tout le pays impliquant pas moins de 70 personnes, qui feront l'objet de poursuites judicaires, notamment pour recel.
Un véritable trésor comprenant au total 16.344 objets de grande valeur a pu être récupéré et mis à la disposition des départements d'archéologie concernés.
Parmi les objets découverts figurent notamment 15.000 pièces d'argent et de bronze des époques grecque, romaine et byzantine, ainsi que des amphores grecques en très bon état représentant des scènes érotiques.
Des échantillons de terre retrouvée sur les objets ont été comparés avec les résidus de terre restés sur les dix détecteurs de métaux utilisés par les pilleurs. Ces analyses ont confirmé que la majeure partie des objets retrouvés provenait de Calabre.
Les carabiniers disposent d'un département spécialisé dans la défense du patrimoine culturel, avec 13 antennes réparties dans les différentes régions d'Italie.