
Le spectacle concocté par Danny Boyle, le réalisateur du film multi-oscarisé Slumdog Millionnaire, veut refléter l'esprit britannique et "raconter la vie des gens".
La reine doit déclarer solennellement les Jeux ouverts vers le milieu du spectacle prévu pour durer plus de trois heures et pour lequel plus d'un milliard de téléspectateurs sont attendus.
Mais auparavant, la plus grande cloche d'Europe donnera le coup d'envoi de la cérémonie de 27 millions de livres (34 millions d'euros) à 21H00 (22h00 heure française), en écho aux milliers de cloches qui vont sonner à la volée pendant trois minutes dans tout le pays, en commençant par Big Ben à 08H12.
Ce sera la première fois que Big Ben sonnera en dehors de ses horaires habituels depuis la mort de George VI, le père de la reine Elizabeth II.
La flamme olympique, qui a rencontré une ferveur inégalée dans tout le pays sur son parcours de 12.872 km, débute sa 70e et dernière journée avec une traversée du labyrinthe du château de Hampton Court, non loin de Londres, et une descente de la Tamise à bord de la barge royale Gloriana, avant de finalement allumer le chaudron dans le stade olympique pour la cérémonie d'ouverture. Le mystère reste entier sur le nom de l'athlète britannique à qui reviendra l'honneur d'allumer la flamme au stade.
En attendant Bolt et Phelps
Gloriana avait déjà accueilli la reine pour son jubilé sous une pluie battante, début juin. Quelques gouttes tombaient sur Londres vendredi matin, mais les prévisions météo donnaient un ciel dégagé pour la soirée, au stade olympique.
Plus de 100 chefs d'Etat et de gouvernement sont déjà arrivés à Londres pour l'ouverture des jeux. La Première dame américaine Michelle Obama, arrivée jeudi soir, rencontre tôt dans la matinée la délégation américaine aux JO avant d'animer à l'ambassade américaine une manifestation avec un millier d'enfants de soldats américains et d'étudiants américains et britanniques.
Le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault sera également à la cérémonie d'ouverture, tandis que François Hollande n'est pas attendu à Londres avant le 30 juillet.
Quant au candidat américain Mitt Romney, le moins qu'on puisse dire est que ses premiers pas à Londres jeudi ont fait désordre, selon la presse britannique. The Independent parle de "pagaille" (Romneyshambles) à propos de ses critiques malvenues de l'organisation des JO, suivies d'une "embarrassante volte-face".
Et après cette soirée de gala, ce sera place au sport, avec les exploits attendus de quelque 10.500 athlètes, dont les stars Michael Phelps et Usain Bolt, qui devraient respectivement enflammer la piscine et le stade olympique pendant 17 jours de compétition pour 302 médailles d'or en jeu.
Les Français auront, eux, un oeil sur Teddy Riner, Christophe Lemaitre, Yannick Agnel, Renaud Lavillenie, Tony Parker et les basketteurs, ainsi que les handballeurs.
La reine doit déclarer solennellement les Jeux ouverts vers le milieu du spectacle prévu pour durer plus de trois heures et pour lequel plus d'un milliard de téléspectateurs sont attendus.
Mais auparavant, la plus grande cloche d'Europe donnera le coup d'envoi de la cérémonie de 27 millions de livres (34 millions d'euros) à 21H00 (22h00 heure française), en écho aux milliers de cloches qui vont sonner à la volée pendant trois minutes dans tout le pays, en commençant par Big Ben à 08H12.
Ce sera la première fois que Big Ben sonnera en dehors de ses horaires habituels depuis la mort de George VI, le père de la reine Elizabeth II.
La flamme olympique, qui a rencontré une ferveur inégalée dans tout le pays sur son parcours de 12.872 km, débute sa 70e et dernière journée avec une traversée du labyrinthe du château de Hampton Court, non loin de Londres, et une descente de la Tamise à bord de la barge royale Gloriana, avant de finalement allumer le chaudron dans le stade olympique pour la cérémonie d'ouverture. Le mystère reste entier sur le nom de l'athlète britannique à qui reviendra l'honneur d'allumer la flamme au stade.
En attendant Bolt et Phelps
Gloriana avait déjà accueilli la reine pour son jubilé sous une pluie battante, début juin. Quelques gouttes tombaient sur Londres vendredi matin, mais les prévisions météo donnaient un ciel dégagé pour la soirée, au stade olympique.
Plus de 100 chefs d'Etat et de gouvernement sont déjà arrivés à Londres pour l'ouverture des jeux. La Première dame américaine Michelle Obama, arrivée jeudi soir, rencontre tôt dans la matinée la délégation américaine aux JO avant d'animer à l'ambassade américaine une manifestation avec un millier d'enfants de soldats américains et d'étudiants américains et britanniques.
Le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault sera également à la cérémonie d'ouverture, tandis que François Hollande n'est pas attendu à Londres avant le 30 juillet.
Quant au candidat américain Mitt Romney, le moins qu'on puisse dire est que ses premiers pas à Londres jeudi ont fait désordre, selon la presse britannique. The Independent parle de "pagaille" (Romneyshambles) à propos de ses critiques malvenues de l'organisation des JO, suivies d'une "embarrassante volte-face".
Et après cette soirée de gala, ce sera place au sport, avec les exploits attendus de quelque 10.500 athlètes, dont les stars Michael Phelps et Usain Bolt, qui devraient respectivement enflammer la piscine et le stade olympique pendant 17 jours de compétition pour 302 médailles d'or en jeu.
Les Français auront, eux, un oeil sur Teddy Riner, Christophe Lemaitre, Yannick Agnel, Renaud Lavillenie, Tony Parker et les basketteurs, ainsi que les handballeurs.