Midori Kawamiya est accusée d'avoir pénétré dans la maison de son ancien époux, dans la préfecture d'Aichi (centre du Japon), "en brisant une fenêtre, à une date indéterminée entre le 30 janvier et le 19 février 2014", a indiqué à l'AFP un porte-parole des forces de l'ordre.
"La victime réclame des dédommagements financiers à hauteur de 105,9 millions de yens (815.000 euros)", a-t-il précisé.
Selon le journal Yomiuri, la suspecte est de nationalité chinoise. Elle a effectué de nombreux allers-retours entre le Japon et la Chine après le saccage et a été interpellée mardi à son retour à Tokyo, a précisé l'agence de presse Kyodo.
Les violons détruits, parmi lesquels un instrument italien d'une valeur de 50 millions de yens, avaient été fabriqués ou collectionnés par son ex-mari, un Norvégien âgé d'une soixantaine d'années, a ajouté Kyodo. Au moment des faits, le couple était en pleine procédure de divorce.
"La victime réclame des dédommagements financiers à hauteur de 105,9 millions de yens (815.000 euros)", a-t-il précisé.
Selon le journal Yomiuri, la suspecte est de nationalité chinoise. Elle a effectué de nombreux allers-retours entre le Japon et la Chine après le saccage et a été interpellée mardi à son retour à Tokyo, a précisé l'agence de presse Kyodo.
Les violons détruits, parmi lesquels un instrument italien d'une valeur de 50 millions de yens, avaient été fabriqués ou collectionnés par son ex-mari, un Norvégien âgé d'une soixantaine d'années, a ajouté Kyodo. Au moment des faits, le couple était en pleine procédure de divorce.