M. Kerry a d'abord survolé en hélicoptère les centaines de tentes et de préfabriqués alignés dans le désert à une vingtaine de kilomètres de la frontière syrienne.
Le responsable américain a ensuite rencontré Killian Kleinschmidt, directeur du Haut commissariat de l'ONU aux réfugiés (HCR), puis une demi-douzaine de réfugiés, avec lesquels il a passé près de trois-quarts d'heure.
Les réfugiés ont exprimé leur colère devant l'incapacité de la communauté internationale à faire cesser le bain de sang en Syrie et ont demandé à M. Kerry de faire instaurer des zones d'exclusion aérienne et de bloquer les arrivées d'armes d'Iran et de combattants du Hezbollah libanais.
"Où est la communauté internationale ? Qu'est-ce que vous attendez ? Nous espérons que vous n'allez pas rentrer aux Etats-Unis avant d'avoir trouvé une solution à la crise. Au moins imposez une zone d'exclusion aérienne ou un embargo", a lancé une réfugiée qui n'a pas voulu donner son nom.
A l'issue de cette visite, M. Kerry a déclaré qu'elle avait "donné un vrai visage humain" à la situation, et que sa conversation avec les réfugiés avait été "vive et inoubliable".
Le responsable américain a ensuite rencontré Killian Kleinschmidt, directeur du Haut commissariat de l'ONU aux réfugiés (HCR), puis une demi-douzaine de réfugiés, avec lesquels il a passé près de trois-quarts d'heure.
Les réfugiés ont exprimé leur colère devant l'incapacité de la communauté internationale à faire cesser le bain de sang en Syrie et ont demandé à M. Kerry de faire instaurer des zones d'exclusion aérienne et de bloquer les arrivées d'armes d'Iran et de combattants du Hezbollah libanais.
"Où est la communauté internationale ? Qu'est-ce que vous attendez ? Nous espérons que vous n'allez pas rentrer aux Etats-Unis avant d'avoir trouvé une solution à la crise. Au moins imposez une zone d'exclusion aérienne ou un embargo", a lancé une réfugiée qui n'a pas voulu donner son nom.
A l'issue de cette visite, M. Kerry a déclaré qu'elle avait "donné un vrai visage humain" à la situation, et que sa conversation avec les réfugiés avait été "vive et inoubliable".