Jose Manuel Barroso et Barack Obama devant Dmitry Medvedev, David Cameron, Nicolas Sarkozy, et Naoto Kan
"Il est clair que Kadhafi et son régime continuent de commettre des crimes graves contre le peuple libyen. Kadhafi a perdu toute légitimité. Il doit partir", selon ce nouveau texte préparé par les collaborateurs des chefs d'Etat et de gouvernement du G8 et qui doit être soumis vendredi à leur approbation.
Si cette déclaration est adoptée par les dirigeants, cela signifiera que la Russie s'est résolue à appeler le dirigeant libyen au départ.
Avant l'ouverture du sommet, la présidence russe avait jugé que le G8 ne devait pas "se transformer en un organe proposant des mesures de pression et des sanctions".
"M. Kadhafi doit partir. Les Libyens ont droit à un avenir démocratique", a insisté le président français Nicolas Sarkozy, après un entretien bilatéral avec son homologue américain Barack Obama.
La France et les Etats-Unis ont "la même détermination à finir le travail" en Libye, a assuré de son cô té Barack Obama.
La Russie a affirmé jeudi avoir été saisie par les Occidentaux, mais aussi par Tripoli, d'une demande de médiation dans le conflit libyen, une information qui n'a pas été confirmée par Londres, Paris et Washington.
Moscou, membre permanent du Conseil de sécurité, s'était abstenu le 17 mars de faire usage de son droit de veto lors du vote de la résolution 1973 qui a autorisé l'intervention d'une coalition internationale en Libye contre le régime du colonel Kadhafi pour protéger les civils.
Si cette déclaration est adoptée par les dirigeants, cela signifiera que la Russie s'est résolue à appeler le dirigeant libyen au départ.
Avant l'ouverture du sommet, la présidence russe avait jugé que le G8 ne devait pas "se transformer en un organe proposant des mesures de pression et des sanctions".
"M. Kadhafi doit partir. Les Libyens ont droit à un avenir démocratique", a insisté le président français Nicolas Sarkozy, après un entretien bilatéral avec son homologue américain Barack Obama.
La France et les Etats-Unis ont "la même détermination à finir le travail" en Libye, a assuré de son cô té Barack Obama.
La Russie a affirmé jeudi avoir été saisie par les Occidentaux, mais aussi par Tripoli, d'une demande de médiation dans le conflit libyen, une information qui n'a pas été confirmée par Londres, Paris et Washington.
Moscou, membre permanent du Conseil de sécurité, s'était abstenu le 17 mars de faire usage de son droit de veto lors du vote de la résolution 1973 qui a autorisé l'intervention d'une coalition internationale en Libye contre le régime du colonel Kadhafi pour protéger les civils.