Koweït
Le groupe, baptisé "La Cinquième Muraille", avait appelé sur le site de micro-blogs Twitter les Koweïtiens à se rassembler devant le siège du Parlement pour réclamer la démission du gouvernement et dénoncer ses "pratiques non-démocratiques".
Mais le groupe a ensuite annoncé sur Twitter avoir reporté son action après l'acceptation par l'émir Sabah al-Ahmad Al-Sabah dimanche de la démission du ministre de l'Intérieur Cheikh Jaber Khaled Al-Sabah, présentée après le décès d'un détenu sous la torture.
La manifestation devait coïncider avec une audition au Parlement du ministre de l'Intérieur, avant l'annonce de sa démission. Le gouvernement et ses partisans avaient réussi à obtenir la suspension des sessions parlementaires jusqu'au 8 mars, une mesure jugée non-constitutionnelle par l'opposition.
Le groupe a annoncé reporter son action au 8 mars. "En tant que groupe de jeunes, nous demeurons convaincus que le départ de ce gouvernement est la seule mesure capable de satisfaire nos revendications".
Il souligne néanmoins que son action n'est aucunement liée à des événements étrangers, en allusion aux soulèvements en Tunisie et en Egypte.
Un député islamiste de l'opposition, Daifallah Buramia, a affirmé lundi soir que le changement du ministre de l'Intérieur n'était pas suffisant. "Le problème est l'ensemble du gouvernement et nous devons avoir un (nouveau) gouvernement capable de diriger le pays".
Mais le groupe a ensuite annoncé sur Twitter avoir reporté son action après l'acceptation par l'émir Sabah al-Ahmad Al-Sabah dimanche de la démission du ministre de l'Intérieur Cheikh Jaber Khaled Al-Sabah, présentée après le décès d'un détenu sous la torture.
La manifestation devait coïncider avec une audition au Parlement du ministre de l'Intérieur, avant l'annonce de sa démission. Le gouvernement et ses partisans avaient réussi à obtenir la suspension des sessions parlementaires jusqu'au 8 mars, une mesure jugée non-constitutionnelle par l'opposition.
Le groupe a annoncé reporter son action au 8 mars. "En tant que groupe de jeunes, nous demeurons convaincus que le départ de ce gouvernement est la seule mesure capable de satisfaire nos revendications".
Il souligne néanmoins que son action n'est aucunement liée à des événements étrangers, en allusion aux soulèvements en Tunisie et en Egypte.
Un député islamiste de l'opposition, Daifallah Buramia, a affirmé lundi soir que le changement du ministre de l'Intérieur n'était pas suffisant. "Le problème est l'ensemble du gouvernement et nous devons avoir un (nouveau) gouvernement capable de diriger le pays".