New York (Nations-Unies), 19/10/2018 (MAP) - L’Algérie ne s’arrête devant rien dans sa politique d’hostilité à l’intégrité territoriale du Maroc, et recourt maintenant à des mercenaires qui se permettent d’attaquer d’autres pays arabes et africains.
L’illustration la plus récente de cette ingérence a eu lieu durant l’audition, la semaine dernière, des pétitionnaires sur la question du Sahara marocain, devant la 4è Commission de l’Assemblée Générale de l’ONU. En effet, un pétitionnaire égyptien, racolé par l’Algérie, a exploité le débat pour s’attaquer non seulement au Maroc, mais également à la souveraineté nationale et aux institutions égyptiennes, en portant des accusations gravissimes contre le gouvernement de ce pays.
Cette dérive a suscité l’indignation des Etats membres présents à la réunion et une réponse énergique du délégué égyptien qui a condamné les propos de ce pétitionnaire. Le diplomate égyptien a ainsi demandé au secrétariat de la 4è Commission des explications sur la manière qui a permis à un parfait inconnu de s’immiscer dans les travaux de la 4è Commission, porter atteinte à son pays et s’ingérer dans les questions internes des Etats membres.
Le recours à des personnes douteuses traduit le désarroi de l’Algérie, qui trouve de moins en moins de soutien à son protégé le "polisario" et à ses thèses séparatistes.
Cet incident s’ajoute à celui des deux pétitionnaires camerounais qui ont instrumentalisé leur intervention pour promouvoir le séparatisme et l’indépendance de la soit-disant "république d’ambazonie", au Nord du Cameroun. Ce qui a suscité l’indignation des diplomates africains.
L’illustration la plus récente de cette ingérence a eu lieu durant l’audition, la semaine dernière, des pétitionnaires sur la question du Sahara marocain, devant la 4è Commission de l’Assemblée Générale de l’ONU. En effet, un pétitionnaire égyptien, racolé par l’Algérie, a exploité le débat pour s’attaquer non seulement au Maroc, mais également à la souveraineté nationale et aux institutions égyptiennes, en portant des accusations gravissimes contre le gouvernement de ce pays.
Cette dérive a suscité l’indignation des Etats membres présents à la réunion et une réponse énergique du délégué égyptien qui a condamné les propos de ce pétitionnaire. Le diplomate égyptien a ainsi demandé au secrétariat de la 4è Commission des explications sur la manière qui a permis à un parfait inconnu de s’immiscer dans les travaux de la 4è Commission, porter atteinte à son pays et s’ingérer dans les questions internes des Etats membres.
Le recours à des personnes douteuses traduit le désarroi de l’Algérie, qui trouve de moins en moins de soutien à son protégé le "polisario" et à ses thèses séparatistes.
Cet incident s’ajoute à celui des deux pétitionnaires camerounais qui ont instrumentalisé leur intervention pour promouvoir le séparatisme et l’indépendance de la soit-disant "république d’ambazonie", au Nord du Cameroun. Ce qui a suscité l’indignation des diplomates africains.