Le prince Saud al Faisal
Le ministre a expliqué que le roi Abdallah et le président syrien Bachar el Assad avaient été en contact pour aider à "mettre fin à l'ensemble du problème libanais".
Le prince Saud a ajouté qu'il est devenu clair que le problème ne pouvait pas être résolu et que son pays a décidé de cesser ses efforts.
"Si la situation aboutit à une séparation complète et à une partition (régionale), cela signifie la fin du Liban en tant qu'Etat qui est ce modèle de cohabitation pacifique entre religions et ethnies", a-t-il ajouté.
Les ministres du Hezbollah et de ses alliés ont démissionné la semaine dernière entraÂŒnant la chute du gouvernement d'union conduit par le Premier ministre Saad Hariri, fils de l'ancien dirigeant Rafic Hariri tué dans un attentat à la bombe en février 2005.
Le mouvement islamiste entend protester contre les liens qu'entretient le gouvernement d'Hariri avec le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), instance onusienne chargée d'enquêter sur l'assassinat de l'ex-Premier ministre.
Le Hezbollah pense que l'acte d'accusation délivré par le procureur du TSL va viser certains de ses membres. L'organisation affirme n'avoir aucune responsabilité dans la mort d'Hariri.
L'Arabie saoudite qui soutient le gouvernement pro-occidental d'Hariri et la Syrie, appui traditionnel du Hezbollah, avaient accepté de mener une médiation au Liban.
Le prince Saud a ajouté qu'il est devenu clair que le problème ne pouvait pas être résolu et que son pays a décidé de cesser ses efforts.
"Si la situation aboutit à une séparation complète et à une partition (régionale), cela signifie la fin du Liban en tant qu'Etat qui est ce modèle de cohabitation pacifique entre religions et ethnies", a-t-il ajouté.
Les ministres du Hezbollah et de ses alliés ont démissionné la semaine dernière entraÂŒnant la chute du gouvernement d'union conduit par le Premier ministre Saad Hariri, fils de l'ancien dirigeant Rafic Hariri tué dans un attentat à la bombe en février 2005.
Le mouvement islamiste entend protester contre les liens qu'entretient le gouvernement d'Hariri avec le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), instance onusienne chargée d'enquêter sur l'assassinat de l'ex-Premier ministre.
Le Hezbollah pense que l'acte d'accusation délivré par le procureur du TSL va viser certains de ses membres. L'organisation affirme n'avoir aucune responsabilité dans la mort d'Hariri.
L'Arabie saoudite qui soutient le gouvernement pro-occidental d'Hariri et la Syrie, appui traditionnel du Hezbollah, avaient accepté de mener une médiation au Liban.