Edouard Nalbandian
"Je veux, une fois de plus, exprimer ma gratitude aux plus hautes autorités de la France, à l'Assemblée nationale et au peuple français", a-t-il déclaré.
La France "en adoptant cette loi a prouvé de nouveau qu'il n'y avait pas de prescription pour les crimes contre l'humanité et que les nier devait être puni", a-t-il encore dit.
Les députés français ont voté jeudi une proposition de loi pénalisant la négation du génocide arménien de 1915, qui risque d'entraîner des représailles diplomatiques, économiques et culturelles de la Turquie.
Le texte, combattu par la Turquie, a été approuvé par une très large majorité de la cinquantaine de députés présents.
La proposition de loi punit d'un an de prison et de 45.000 euros d'amende la négation d'un génocide reconnu par la loi, comme l'est depuis 2001 en France le génocide de 1915, qui a fait 1,5 million de morts selon les Arméniens.
La Turquie reconnaît que jusqu'à 500.000 Arméniens sont morts pendant des combats et leur déportation, mais non par une volonté d'extermination.
La France "en adoptant cette loi a prouvé de nouveau qu'il n'y avait pas de prescription pour les crimes contre l'humanité et que les nier devait être puni", a-t-il encore dit.
Les députés français ont voté jeudi une proposition de loi pénalisant la négation du génocide arménien de 1915, qui risque d'entraîner des représailles diplomatiques, économiques et culturelles de la Turquie.
Le texte, combattu par la Turquie, a été approuvé par une très large majorité de la cinquantaine de députés présents.
La proposition de loi punit d'un an de prison et de 45.000 euros d'amende la négation d'un génocide reconnu par la loi, comme l'est depuis 2001 en France le génocide de 1915, qui a fait 1,5 million de morts selon les Arméniens.
La Turquie reconnaît que jusqu'à 500.000 Arméniens sont morts pendant des combats et leur déportation, mais non par une volonté d'extermination.