Saif al-Adel
La chaîne américaine s'appuie sur des informations fournies par Noman Benotman, un ancien militant extrémiste libyen qui a renoncé à l'idéologie d'Al-Qaïda.
M. Benotman a indiqué que cette nomination était motivée par la fébrilité des militants d'Al-Qaïda face à l'absence de chef.
La désignation de Saif al-Adel a également été rapportée par le journal pakistanais The News, qui cite des sources non identifiées dans un article daté de Rawalpindi (centre), une ville proche d'Islamabad qui abrite le siège de l'armée pakistanaise.
Saif al-Adel, ancien membre des forces spéciales égyptiennes et du jihad islamique égyptien, est âgé d'environ 50 ans et serait le chef de la branche militaire d'Al-Qaïda.
Aussi connu sous le nom de Muhamad Ibrahim Makkawi, il est inculpé pour sa participation présumée aux attentats contre les ambassades américaines de Nairobi et Dar es Salaam en 1998 et une récompense de cinq millions de dollars est offerte pour son arrestation.
Selon M. Benotman, cette nomination à la tête d'Al-Qaïda pourrait être une manière pour la nébuleuse de tester les réactions à l'arrivée au pouvoir d'un chef ne venant pas de la péninsule arabique, terre sainte de l'islam, en vue de l'introduction de celui qui apparaît comme le successeur naturel de Ben Laden, Ayman al-Zawahiri, un Egyptien. Oussama Ben Laden était lui originaire d'Arabie Saoudite.
M. Benotman a indiqué que cette nomination était motivée par la fébrilité des militants d'Al-Qaïda face à l'absence de chef.
La désignation de Saif al-Adel a également été rapportée par le journal pakistanais The News, qui cite des sources non identifiées dans un article daté de Rawalpindi (centre), une ville proche d'Islamabad qui abrite le siège de l'armée pakistanaise.
Saif al-Adel, ancien membre des forces spéciales égyptiennes et du jihad islamique égyptien, est âgé d'environ 50 ans et serait le chef de la branche militaire d'Al-Qaïda.
Aussi connu sous le nom de Muhamad Ibrahim Makkawi, il est inculpé pour sa participation présumée aux attentats contre les ambassades américaines de Nairobi et Dar es Salaam en 1998 et une récompense de cinq millions de dollars est offerte pour son arrestation.
Selon M. Benotman, cette nomination à la tête d'Al-Qaïda pourrait être une manière pour la nébuleuse de tester les réactions à l'arrivée au pouvoir d'un chef ne venant pas de la péninsule arabique, terre sainte de l'islam, en vue de l'introduction de celui qui apparaît comme le successeur naturel de Ben Laden, Ayman al-Zawahiri, un Egyptien. Oussama Ben Laden était lui originaire d'Arabie Saoudite.