C’est ce qu’al-Sabah a indiqué devant le parlement koweïtien, dans une allocution, considérée comme la plus pessimiste prononcée par l’Emir du Koweït, par rapport à la Crise du Golfe, qu’il tente de résoudre.
« Contrairement à nos attentes, la Crise du Golfe pourrait connaitre de nouveaux développements », a souligné al-Sabah.
Il a mis en garde, dans ce contexte, contre les répercussions de l’escalade, susceptible d'aboutir à des conflits régionaux et internationaux et à des résultats néfastes et destructeurs pour la sécurité des pays et des peuples du Golfe.
« La médiation du Koweït n’est pas une médiation classique. Nous sommes conscients des possibilités d’évolution de cette crise », a-t-il assuré, poursuivant que « nous ne sommes pas une tierce-partie, nous sommes une partie unique avec deux frères ».
L’Emir du Koweït a également assuré que le but de son pays est de réconcilier les parties de la crise, de restaurer « la maison du Golfe » et de la protéger contre l’effondrement.
« L’Histoire, les générations du Golfe, les générations à venir et les générations arabes n’oublieront pas ceux qui contribuent à l’escalade de la crise », a-t-il ajouté, mettant en garde contre l’effondrement du Conseil de Coopération du Golfe qui serait, selon lui, l’effondrement du dernier bastion de la Coopération arabe.
« Contrairement à nos attentes, la Crise du Golfe pourrait connaitre de nouveaux développements », a souligné al-Sabah.
Il a mis en garde, dans ce contexte, contre les répercussions de l’escalade, susceptible d'aboutir à des conflits régionaux et internationaux et à des résultats néfastes et destructeurs pour la sécurité des pays et des peuples du Golfe.
« La médiation du Koweït n’est pas une médiation classique. Nous sommes conscients des possibilités d’évolution de cette crise », a-t-il assuré, poursuivant que « nous ne sommes pas une tierce-partie, nous sommes une partie unique avec deux frères ».
L’Emir du Koweït a également assuré que le but de son pays est de réconcilier les parties de la crise, de restaurer « la maison du Golfe » et de la protéger contre l’effondrement.
« L’Histoire, les générations du Golfe, les générations à venir et les générations arabes n’oublieront pas ceux qui contribuent à l’escalade de la crise », a-t-il ajouté, mettant en garde contre l’effondrement du Conseil de Coopération du Golfe qui serait, selon lui, l’effondrement du dernier bastion de la Coopération arabe.